PIXELS de Chris COLUMBUS

PIXELS

PIXELS

Game On

Play for the Planet

Fiche Technique

REALISE PAR : Chris Columbus

ECRIT PAR : Tim Herlihy & Timothy Dowling

MUSIQUE DE : Henry Jackman

PRODUIT PAR : M. Barnathan, C.Columbus, A.Covert, M.Radcliffe & A. Sandler

PRODUCTION : Columbia - LStar - China - Happy Madison - 1492 - Croppers

DISTRIBUE PAR : Columbia aux USA – Sony en France

ORIGINE : USA / Chine / Canada

DUREE : 1h46min

PUBLIC : Pour tout public

SORTIE : 24 Juillet 2015 aux USA – 22 Juillet 2015 en France

BUDGET : 88 Millions de Dollars

REVENUS : 244 Millions de Dollars (156 Millions de Bénéfices)

LIEUX DE TOURNAGE : Canada

GENRE : SciFi

DISPONIBILITE : BluRay Zone B

SUITES : Non

ADAM SANDLER : Sam Brenner

KEVIN JAMES : POTUS Will Cooper

PETER DINKLAGE : Eddie Plant

JOSH GAD : Ludlow Lamonsoff

MICHELLE MONAGHAN : Lieutenant Colonel Violet van Patten

BRIAN COX : Admiral Porter

SEAN BEAN : Corporal Hill

JANE KRAKOWSKI : FLOTUS Jane Cooper

AFFION CROCKETT : Sergeant Dylan Cohan

ASHLEY BENSON : Lady Lisa

Synopsis

            Lorsque des extraterrestres attaquent la Terre sous forme d’icônes du jeu vidéo, une task force est montée avec Sam Brenner (ADAM SANDLER), Eddie Plant (PETER DINKLAGE), Ludlow Lamonsoff (JOSH GAD), le lieutenant-colonel Violet van Patten (MICHELLE MONAGHAN) et le Président des Etats-Unis Will Cooper (KEVIN JAMES).

Critique

            Pour son dernier film au cinéma avant son contrat de 6 longs métrages avec Netflix, Adam Sandler tape fort dans le high concept avec une adaptation d’un court-métrage, Pixels.

            Cette histoire de légendes du jeu vidéo des années 80, 90 qui attaquent la Terre est particulièrement intéressante, mais Adam Sandler était vraiment la dernière personne qu’on s’attendait à voir sur le film. Force est de constater qu’on retrouve absolument tout ce à quoi on pouvait s’attendre avec Sandler. Son personnage est encore un type un peu feignant, assez maladroit mais avec un trait d’esprit toutes les trois répliques, parfois drôles, parfois agaçantes, et qui parvient toujours à draguer la plus belle actrice du casting. On se retrouve avec ça, dans Pixels, mais malheureusement rien d’autre. Les scènes d’action sont compétentes mais pas novatrices, alors qu’il y avait vraiment moyen de le faire avec ce point de départ et avec Chris Columbus à la tête du film. Le casting est pourtant efficace tout comme la bande-son, une ou deux séquences sortent du lot, comme celle de Max Headroom, mais à part cela, Pixels n’est malheureusement qu’un pétard dans l’eau.

            Pixels n’est pas un mauvais film, surtout dans la filmographie d’Adam Sandler, qui va de mal en pis, objectivement. Mais Pixels passe un peu à côté de son sujet… Dommage.

Ma Note : 11/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : LES MONDES DE RALPH de Rich MOORE, un autre film sur les jeux vidéo qui se plante un peu. 

LE HOBBIT : LA BATAILLE DES CINQ ARMEES (THE HOBBIT : BATTLE OF THE FIVE ARMIES) de Peter JACKSON

LE HOBBIT : LA BATAILLE DES CINQ ARMEES

THE HOBBIT : BATTLE OF THE FIVE ARMIES

The Defining Chapter

Witness the defining chapter of the Middle-Earth saga

Fiche Technique

REALISE PAR : Peter Jackson

ECRIT PAR : Fran Walsh, Philippa Boyens, Peter Jackson & Guillermo Del Toro

MUSIQUE DE : Howard Shore

PRODUIT PAR : Caro Cunningham, Peter Jackson, Fran Walsh & Zane Weiner

PRODUCTION : New Line – MGM – WingNut – 3Foot7

DISTRIBUE PAR : Warner Bros. aux USA et en France

ORIGINE : USA / Nouvelle-Zélande

DUREE : 2h24min

PUBLIC : Pour tout public

SORTIE : 17 Décembre 2014 aux USA – 10 Décembre 2014 en France

BUDGET : 250 Millions de Dollars

REVENUS : 956 Millions de Dollars (706 Millions de Bénéfices)

LIEUX DE TOURNAGE : Nouvelle-Zélande & Angleterre

GENRE : Fantasy

DISPONIBILITE : BluRay Zone B

SUITES : Fin de la trilogie THE HOBBIT. Dernier film adapté de Tolkien

MARTIN FREEMAN : Bilbo Baggins

IAN MCKELLEN : Gandalf the Grey

RICHARD ARMITAGE : Thorin II Oakenshield

GRAHAM MCTAVISH : Dwalin

LUKE EVANS : Bard the Bowman

ORLANDO BLOOM : Legolas

EVANGELINE LILLY : Tauriel

KEN STOTT : Balin

AIDAN TURNER : Kili

DEAN O’GORMAN : Fili

Synopsis

            Alors que Smaug (BENEDICT CUMBERBATCH) se jette sur Lacville, Thorin (RICHARD ARMITAGE) et ses compagnons cherchent encore l’Arkenston, que Bilbo (MARTIN FREEMAN) a en sa possession. Dans le même temps, les Orques attaquent humaines et nains en même temps. La guerre est inévitable…

Critique

            Après 13 ans passés dans la Terre du Milieu, nous arrivions enfin au bout de notre périple servi par Peter Jackson. En effet, The Hobbit : The Battle of the Five Armies était le dernier épisode.

            Autant la trilogie du Seigneur des Anneaux fut connue et reconnue comme un chef d’œuvre par tout le monde, autant The Hobbit fut conspué par certains, même par les fans de la première heure. C’est facile à comprendre quand on voit le dernier opus de cette trilogie. Loin est l’idée de dire que le dernier volet de la saga The Hobbit est un mauvais film, car ce serait faux. Mais en dépit d’un prologue absolument magnifique, électrifiant et frénétique, visuellement splendide, le film ne parvient jamais à égaler ses aînés, surtout quand il se perd dans les méandres d’une intrigue qui n’aurait mérité que vingt minutes à la fin du deuxième film plutôt qu’un film de 2h20 qui se traîne tellement en longueur dans la deuxième partie que cela en devient indécent. Les acteurs sont fatigués, les effets spéciaux ne suivent absolument plus, les personnages sont très peu travaillés et le tout est extrêmement répétitif et a perdu toute la magie qui faisait effet à Osgiliath ou au Gouffre de Helm. On semble carrément être sur du recyclage qui manque cruellement de finesse.

            Pourtant, The Hobbit 3 est parfois fun, mais malgré tout le savoir-faire de Peter Jackson pour éviter la vraie déception, on ne peut que constater qu’on est clairement devant le plus mauvais film de la saga.

Ma Note : 11/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : LES DEUX TOURS de Peter JACKSON, clairement le meilleur de la saga.

LATE FOR DINNER de W.D. RICHTER

LATE FOR DINNER

LATE FOR DINNER

Sometimes you can be gone forever

and still make it back on time

Fiche Technique

REALISE PAR : W.D. Richter

ECRIT PAR : Mark Andrus

MUSIQUE DE : David Mansfield

PRODUIT PAR : Dan Lupovitz & W.D. Richter

PRODUCTION : Castle Rock – Granite – New Line

DISTRIBUE PAR : Columbia aux USA

ORIGINE : USA

DUREE : 1h39min

PUBLIC : Pour tout public

SORTIE : 20 Septembre 1991 aux USA

BUDGET : Pas d’Infos

REVENUS : 9 Millions de Dollars

LIEUX DE TOURNAGE : New Mexico

GENRE : Fantastique

DISPONIBILITE : DVD Zone 1

SUITES : Non

BRIAN WIMMER : Willie Husband

PETER BERG : Frank Lovegren

MARCIA GAY HARDEN : Joy Husband

COLLEEN FLYNN : Jessica Husband

PETER GALLAGHER : Bob Freeman

JOHN PROSKY : Officer Tom Bostich

BO BRUNDIN : Dr. Dan Chilbains

KYLE SECOR : Leland Shakes

RICHARD STEINMETZ : Donald Freeman

JANEANE GAROFALO : Counter Girl

Synopsis

            En 1962, les meilleurs amis et beaux-frères Willie Husband (BRIAN WIMMER) et Frank Lovegren (PETER BERG) sont en fuite après le meurtre en légitime défense d’un type commis par Willie. Mais une fois dans le désert, ils rencontrent le Dr. Dan Chilbains (BO BRUNDIN) qui les cryogénise et les envoie en 1991.

Critique

            Il y eut une époque où Peter Berg était le ressort comique de petits films sans prétentions. Late for Dinner fait partie de ces films, romance fantastique sur la cryogénisation.

            L’idée principale de Late for Dinner n’est pas de faire un film sur le time travel mais surtout sur l’effet que cela procure sur les éventuels voyageurs et la difficulté de se remettre à vivre normalement quand tous ses proches sont restés derrière. Ici, Brian Wimmer et Peter Berg sont envoyés de 1962 à 1991, ce qui est une manière assez habile de traiter le voyage dans le temps dans la mesure où l’on parle de seulement 30 ans et pourtant 30 longues années. La manière abordée par W.D. Richter et Mark Andrus est intéressante, mais elle souffre cruellement d’une première partie bien trop longue comparée à la seconde, qui, elle, est vraiment passionnante. C’est pourtant une structure assez originale dans la mesure où le time travel n’est qu’un rebondissement au milieu de tant d’autres, mais cela dessert totalement le rythme du film. C’est dommage car les acteurs sont vraiment très bons, que ce soient Peter Berg, Brian Wimmer, mais aussi les seconds rôles comme Peter Gallagher ou encore Marcia Gay Harden.

            Late for Dinner est un petit film à découvrir, un divertissement tout à fait acceptable et parfois touchant qui se sert plutôt bien du fantastique qui faire passer son message.

Ma Note : 13.5/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : MIRACLE MILE de Steve DEJARNATT, autre film romantique mâtiné de fantastique.

ENEMY de Denis VILLENEUVE

ENEMY

ENEMY

You can’t escape yourself !

Le nouveau piège de Denis Villeneuve

Fiche Technique

REALISE PAR : Denis Villeneuve

ECRIT PAR : Javier Guillon

MUSIQUE DE : Danny Bensi & Saunder Juriaans

PRODUIT PAR : Miguel A. Faura & Niv Fichman

PRODUCTION : Pathé - EOne - Rhombus - Roxbury - micro_scope - Mecanismo

DISTRIBUE PAR : E1 au Canada – Version Originale en France

ORIGINE : Canada / Espagne / France

DUREE : 1h31min

PUBLIC : Pour tout public

SORTIE : 14 Mars 2014 au Canada – 27 Août 2014 en France

BUDGET : Pas d’Infos

REVENUS : 3 Millions de Dollars

LIEUX DE TOURNAGE : Ontario

GENRE : Drame psychologique

DISPONIBILITE : BluRay Zone B

SUITES : Non

JAKE GYLLENHAAL : Adam Bell / Anthony Claire

MELANIE LAURENT : Mary

SARAH GADON : Helen Claire

ISABELLA ROSSELLINI : Mother

JOSHUA PEACE : Carl

JANE MOFFAT : Eve

DARRYL DINE : Video store clerk

TIM POST : Anthony’s concierge

STEPHEN R. HART : Bouncer

KEDAR BROWN : Security guard

Synopsis

            Un jour, Adam Bell (JAKE GYLLENHAAL), un professeur réservé, loue un film avec Anthony Claire (JAKE GYLLENHAAL) sur les conseils d’un collègue et s’aperçoit que l’acteur principal est son double parfait. Il part alors à la recherche de celui-ci et devient quasiment fou, ce qui inquiète sa compagne Mary (MELANIE LAURENT)…

Critique

            En quelques films, Denis Villeneuve s’est construit une réputation de cinéaste particulièrement intéressant, avec des films aussi divers et variés comme Incendies, Prisoners et maintenant Enemy.

            Tourné avant Prisoners mais toujours avec Jake Gyllenhaal, Enemy ressemblerait à du David Lynch épuré et sans humour, auquel on déciderait de donner du sens dans le dernier acte. Cela pourrait sembler être une idée débile tant ce qui marche chez Lynch est l’absence de sens, mais dans Enemy, cela marche particulièrement bien, grâce à la maîtrise technique irréprochable d’un Villeneuve, qui se permet quelques fantaisies et comparaisons arachnides de bon aloi. Un peu lent à démarrer, mais constamment tendu, sec et froid, Enemy tisse sa toile jusqu’à un dénouement particulièrement étrange mais profondément logique, voire même un peu attendu malheureusement. Il est reste que Jake Gyllenhaal est toujours aussi excellent, Mélanie Laurent est toujours aussi mauvaise actrice mais heureusement très peu présente et qu’il manque clairement quelques seconds rôles.

            Passionnant les 20 premières minutes passées et visuellement splendide, Enemy est une œuvre singulière, particulièrement intéressante et surtout bien mise en musique.

Ma Note : 15/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : SICARIO de Denis VILLENEUVE, son film suivant, tout aussi réussi visuellement. 

LA RAGE DE VAINCRE (SOUTHPAW) d'Antoine FUQUA

LA RAGE DE VAINCRE

SOUTHPAW

Believe in Hope

Son plus grand combat se joue hors du ring

Fiche Technique

REALISE PAR : Antoine Fuqua

ECRIT PAR : Kurt Sutter

MUSIQUE DE : James Horner

PRODUIT PAR : T. Black, J. Blumenthal, A. & P. Riche, S. Tisch & J. Ye

PRODUCTION : Escape – Fuqua – Riche – Wanda

DISTRIBUE PAR : The Weinstein Company aux USA – SND en France

ORIGINE : USA / Hong Kong

DUREE : 2h4min

PUBLIC : Pour tout public

SORTIE : 24 Juillet 2015 aux USA – 22 Juillet 2015 en France

BUDGET : 30 Millions de Dollars

REVENUS : 92 Millions de Dollars (62 Millions de Bénéfices)

LIEUX DE TOURNAGE : Indiana, Pennsylvanie & Nevada

GENRE : Drame sportif

DISPONIBILITE : BluRay Zone B

SUITES : Non

JAKE GYLLENHAAL : Billy Hope

FOREST WHITAKER : Tick Willis

OONA LAWRENCE : Leila Hope

RACHEL MCADAMS : Maureen Hope

NAOMIE HARRIS : Angela Rivera

SKYLAN BROOKS : Hoppy

50 CENT : Jordan Mains

MALCOLM MAYS : Gabe

VICTOR ORTIZ : Ramone

MIGUEL GOMEZ : Miguel Magic Escobar

Synopsis

            Billy Hope (JAKE GYLLENHAAL) est un boxeur heureux avec sa femme Maureen (RACHEL MCADAMS) et sa fille Leila (OONA LAWRENCE). Alors qu’il prépare sa retraite, il accepte un dernier combat contre Miguel Magic Escobar (MIGUEL GOMEZ). La fête se passe mal et Maureen est tuée accidentellement. Billy tombe alors dans la dépression…

Critique

            La carrière d’Antoine Fuqua est tellement étrange et binaire qu’il est très facile de savoir si un de ses films sera réussi ou pas, dans la mesure où il en réussit un sur deux.

            La Rage de Vaincre suit The Equalizer, on pouvait donc s’attendre à un mauvais film vu que ce dernier était réussi. Si cet énième film de rédemption à travers la boxe et un vieil entraîneur n’est pas vraiment loupé et possède tout de même quelques séquences réussies, dont celles de boxe, il n’apporte rien de nouveau à un genre totalement dominé par Sylvester Stallone, que ce soit Match Retour ou Creed. Pire encore, les enjeux dramatiques du script de Kurt Sutter sont en fait particulièrement inintéressants, car si prévisibles qu’il n’y a aucune surprise et donc aucune intensité. C’est dommage car Jake Gyllenhaal, Forest Whitaker et Oona Lawrence sont plutôt performants, mais le reste du casting est bien en-deçà, jouant les gros durs sans aucun talent. Quant au score de James Horner, il est aussi lourd que le film qu’il illustre : attendu, pompier, tire-larmes et surtout absolument pas original.

            La Rage de Vaincre s’oublie quelques jours après vision et ne doit son salut qu’à une poignée de scènes et aux trois acteurs principaux. Ça aurait pu être pire, mais ça aurait dû être mieux.

Ma Note : 11/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : CREED de Ryan COOGLER, le meilleur film de boxe depuis Rocky Balboa.

SPOT (SEE SPOT RUN) de John WHITESELL

SPOT

SEE SPOT RUN

The Smart One Isn't Wearing Any Pants.

Unleashed March 2

Fiche Technique

REALISE PAR : John Whitesell

ECRIT PAR : Gregory Poirier, George Gallo, Dan Baron & Chris Faber

MUSIQUE DE : John Debney

PRODUIT PAR : Andrew Deane, Robert Simonds & Tracey Trench

PRODUCTION : Warner Bros - Village Roadshow - NPV - Robert Simonds - Spot

DISTRIBUE PAR : Warner Bros. aux USA et en France

ORIGINE : USA / Australie

DUREE : 1h34min

PUBLIC : Pour tout public         
SORTIE : 2 Mars 2001 aux USA – 18 Juillet 2001 en France

BUDGET : 35 Millions de Dollars

REVENUS : 43 Millions de Dollars (8 Millions de Bénéfices)

LIEUX DE TOURNAGE : Washington & British Columbia

GENRE : Comédie Policière

DISPONIBILITE : DVD Zone 2

SUITES : Non

DAVID ARQUETTE : Gordon Smith

ANGUS T. JONES : James

MICHAEL CLARKE DUNCAN : Agent Murdoch

PAUL SORVINO : Sonny Talia

LESLIE BIBB : Stephanie

ANTHONY ANDERSON : Benny Washington

JOE VITERELLI : Gino

STEVE SCHIRRIPA : Arliss

KAVAN SMITH : Ricky

ROGER HASKETT : Michaels

Synopsis

            Gordon Smith (DAVID ARQUETTE), un postier américain, tombe sur un chien et le prend sous son aile à cause de James (ANGUS T. JONES), le fils de sa voisine Stephanie (LESLIE BIBB) qu’il convoite. Mais ce chient n’est pas un chien normal : c’est un agent du FBI ayant permis l’arrestation d’un membre de la Mafia. Tout le monde tente de le retrouver.

Critique

            8 ans après son premier film, John Whitesell revient au cinéma avec See Spot Run, une comédie pour enfants écrite à plusieurs paires de mains, dont George Gallo, capable du pire comme du meilleur.

            See Spot Run est donc un film spécialement destiné aux enfants, seulement pour eux et voici l’énorme erreur du film. On sait très bien que le public destiné ne va pas encore au cinéma tout seul. Evidemment, des parents vont accompagner leurs enfants et vont devoir se taper cette abomination de comédie burlesque avec un animal farceur, une Mafia de fantoche dominée par Paul Sorvino qui cachetonne comme Michael Clarke Duncan dans le camp du FBI et au milieu, Leslie Bibb et David Arquette, affreusement mauvais et agaçants. Il n’y a guère qu’Anthony Anderson qui est parfois souriant. Le reste est un assemblage de scènes mal montées et mal réalisées, un scénario complètement hystérique et infantile et surtout bâclé et une preuve parfaite que les cinéastes n’avaient aucune envie de faire quelque chose d’acceptable, juste un enchaînement de blagues potaches pour rapporter de l’argent.

            See Spot Run est affreusement mauvais, pas du tout soigné, manque terriblement d’ambition et n’a pas explosé le box-office comme ce qui était probablement attendu. Dommage (non).

Ma Note : 4/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : KANGOUROU JACK de David MCNALLY, tout aussi mal vendu.

ANOTHER PERIOD, Saison 1, de Natasha LEGGERO & Riki LINDHOME

ANOTHER PERIOD

ANOTHER PERIOD

SAISON 1

Fiche Technique

CREEE PAR : Natasha Leggero & Riki Lindhome

REALISEE PAR : Jeremy Konner

ECRITE PAR : Natasha Leggero, Riki Lindhome, Guy Branum, Jeremy Konner, Moshe Kasher & Laura Krafft

PRODUITE PAR : Stuart Cornfeld, Jeremy Konner, Natasha Leggero, Debbie Liebling, Riki Lindhome, Mike Rosenstein & Ben Stiller

PRODUCTION : Konner – Leggero Lindhome – Red Hour

PROGRAMMEE SUR : Comedy Central aux USA en 2015

ORIGINE : USA

DUREE : 20 Minutes Par Episodes

DISPONIBILITE : DVD Zone 1

SAISONS : 2 (en cours)

NOMBRE D’EPISODES : 10

GENRE : Situation Comedy

PUBLIC : Pour tout public

NATASHA LEGGERO : Lilian Abigail Hitler Bellacourt

RIKI LINDHOME : Beatrice Bellacourt

LAUREN ASH : Hortense Jefferson Library Bellacourt

JASON RITTER : Lord Frederick Bellacourt

DAVID KOECHNER : Commodore Bellacourt

PAGET BREWSTER : Dorothea Bellacourt

BRIAN HUSKEY : Victor Schmemmerhorn-Fish

DAVID WAIN : Albert Downy Jr.

CHRISTINA HENDRICKS : Celine ”Chair”

BRETT GELMAN : Hamish Crassus

Et Les Guests-Stars :

MICHAEL IAN BLACK dans le 1x01, 1x02, 1x03, 1x04, 1x05, 1x06, 1x07, 1x08,  1x09, 1x10

BETH DOVER dans le 1x01, 1x02, 1x03, 1x05, 1x08, 1x09, 1x10

ARMEN WEITZMANN dans le 1x01, 1x02, 1x03, 1x04, 1x05, 1x06, 1x07, 1x08, 1x09, 1x10

KATE FLANNERY dans le 1x01

THOMAS LENNON dans le 1x01, 1x09, 1x10

SHOSHANNAH STERN dans le 1x01

JON DALY dans le 1x02, 1x09, 1x10

WILL SASSO dans le 1x02, 1x09, 1x10

TIM HEIDECKER dans le 1x03

MOSHE KASHER dans le 1x03, 1x04, 1x06, 1x09, 1x10

LOU DIAMOND PHILLIPS dans le 1x03

JACK BLACK dans le 1x04

KATE MICUCCI dans le 1x04, 1x05, 1x09

BETSY SODARO dans le 1x04, 1x05, 1x09

CHRIS PARNELL dans le 1x05

BRIAN J. WHITE dans le 1x05

BEN STILLER dans le 1x06

MISSI PYLE dans le 1x08

JEREMY KONNER dans le 1x09

STEPHEN TOBOLOWSKY dans le 1x09

LAUREN LAPKUS dans le 1x10

Liste des Episodes

1x01 : Pilot

1x02 : Divorce

1x03 : Funeral

1x04 : Pageant

1x05 : Senate

1x06 : Lilian’s Birthday

1x07 : Switcheroo Day

1x08 : Dog Dinner Party

1x09 : Rejects’ Beach

1x10 : Modern Pigs

Synopsis

         Lilian (NATASHA LEGGERO) et Beatrice (RIKI LINDHOME) sont deux sœurs avides de popularité, en 1902.

Critique

            Nouvelle production de Red Hour, la société de production de Ben Stiller, et créée par Jeremy Konner qui est derrière Drunk History, Another Period est construite comme une parodie de TV-réalité. En 1902.

            Autant vous dire que le concept est particulièrement intéressant, surtout avec le casting pléthorique d’acteurs habitués à voler les scènes des séries et films dans lesquels ils apparaissent. Il se trouve alors qu’Another Period parvient parfaitement à comprendre ce qu’on recherche dans un tel show et ne copie que la structure des Real-TV show qu’il parodie pour créer sa propre mythologie sans jamais verser dans la parodie facile. Parfois, l’hystérie prend le dessus et l’épisode est loupé, mais les idées sont drôles, par moments osées et les acteurs parfaits. En effet, Riki Lindhome et Natasha Leggero sont au top de leur forme, tandis que les seconds rôles sont très efficaces, comme Christina Hendricks, Brian Huskey, David Wain et Jason Ritter. Seuls Michael Ian Black et Paget Brewster sont dans l’excès constant et donc très fatigants.

            Another Period est une série singulière qui a le bon sens de ne durer que 10 épisodes sur sa première saison. La seconde marche sera la plus dure, mais ayons confiance en Jeremy Konner.

Ma Note : 14/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : THE JIM GAFFIGAN SHOW de Jim GAFFIGAN, un autre show réussi avec Michael Ian Black.