URBAN
JUSTICE
URBAN
JUSTICE
When revenge is personal, justice can be brutal.
Vengeance personnelle. Justice brutale.
Fiche Technique
REALISE
PAR : Don E. FauntLeRoy
ECRIT
PAR : Gilmar Fortis II
MUSIQUE
DE : Peter Meisner
PRODUIT
PAR : Steven Seagal
PRODUCTION :
Sony – XIT – Steamroller – Hood to Hood
DISTRIBUE
PAR : Sony aux USA
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h36min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
DTV 2007 aux USA
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Albuquerque & Los Angeles
GENRE :
Thriller
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
STEVEN
SEAGAL : Simon Ballister
EDDIE
GRIFFIN : Armand Tucker
DANNY
TREJO : El Chivo
CARMEN
SERRANO : Alice Park
JADE
YORKER : Gary Middleton
CORY
HART : Max Ballister
KIRK B.
R. WOLLER : Frank Shaw
LIEZL
CARSTENS : Linda
DIEGO
LOPEZ : Winston
BRIAN
LUCERO : Benny
Synopsis
Quand Max Ballister (CORY HART),
policier dans les quartiers chauds de Los Angeles, se fait dessouder après
avoir eu un coup de téléphone de son indic, Gary Middleton (JADE YORKER). Simon
Ballister (STEVEN SEAGAL), le père de Max, décide d’aller enquêter et tombe sur
un endroit aux prises à une guerre des gangs.
Critique
Compliqué de passer après Attack Force et surtout Flight of Fury dans la filmographie
d’un Steven Seagal qui devient de pire
en pire, film après film. Mais Urban
Justice était réalisé par Don E.
FauntLeRoy.
Directeur photo de quelques grands
films, Don E. FauntLeRoy est aussi le
réalisateur de Today You Die et de Mercenary For Justice, deux des moins
mauvais DTV avec Steven Seagal. On
pouvait donc avoir confiance en ce Urban
Justice, qui semblait retourner à l’époque où l’aikidoka se retrouvait en
train d’enquêter dans des milieux urbains qui lui étaient hostiles, pas un de
ces films boursouflés avec des CGI scandaleux et des intrigues
incompréhensibles. Clairement, Urban
Justice commence comme cela, avec des personnages débiles mais simples, une
histoire de vengeance, Seagal qui
nous refait son numéro de charme et de charisme aussi ringard qu’hilarant…
Pendant 30 minutes, on pourrait croire à Eddie
Griffin en patron d’un gang opposé à un autre gang tenu par Danny Trejo, par exemple. Mais passé
cette jolie ouverture, on s’ennuie ferme et plus rien ne se passe hormis
quelques bourre-pifs filmés n’importe comment. On attend donc patiemment un Big
Showdown qui n’arrive absolument pas, ou alors de manière si décevante qu’il
est facile de l’oublier une fois le générique de fin commencé.
Urban
Justice est donc un nouvel item dans la liste du Hall of Shame de Steven Seagal. Mais pire que certains
comme Submerged dont on n’attendait
rien, Urban Justice est décevant…
Ma
Note : 6.5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : NICO d’Andrew DAVIS, qui lui était un vrai bon
film.
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