L’HOMME
DE L’ÎLE DE MAN
THE
MANXMAN
Presented with pride
The screen’s supreme masterpiece
Fiche Technique
REALISE
PAR : Alfred Hitchcock
ECRIT
PAR : Eliot Stannard
MUSIQUE
DE : Silent Movie
PRODUIT
PAR : John Maxwell
PRODUCTION :
British International Pictures
DISTRIBUE
PAR : Wardour au Royaume-Uni
ORIGINE :
Royaume-Uni
DUREE :
1h40min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
21 Janvier 1929 au Royaume-Uni
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Hertfordshire, Isle of Man & Cornwall
GENRE :
Mélodrame
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
CARL
BRISSON : Pete Quilliam
MALCOLM
KEEN : Philip Christian
ANNY
ONDRA : Kate Cregen
RANDLE
AYRTON : Caesar Cregen
CLARE
GREET : Mrs. Cregen
KIM
PEACOCK : Ross Christian
NELLIE
RICHARDS : Wardress
WILFRED
SHINE : Doctor
HARRY
TERRY : Man
Synopsis
Sur l’île de Man, deux amis
d’enfance, Pete Quilliam (CARL BRISSON), un pauvre pêcheur, et Philip Christian
(MALCOLM KEEN), un avocat, sont amoureux de la même femme, Kate Cregen (ANNY
ONDRA). Alors qu’elle veut se marier à Pete, son père (RANDLE AYRTON) refuse et
préfère la marier avec le plus riche Philip. La mort dans l’âme, Pete décide de
partir, pendant que Philip et Kate se marient…
Critique
Pour son dernier film muet, Alfred Hitchcock restait dans un genre
qu’il avait alors beaucoup fréquenté : le mélodrame. Ici, c’est The Manxman, qui comme son nom
l’indique, se déroule sur l’île de Man.
Utilisant un duo d’acteurs qu’on
avait déjà vu auparavant chez lui, Carl
Brisson dans le moyen The Ring
et Malcolm Keen dans l’excellent The Lodger, Alfred Hitchcock raconte encore l’histoire d’un triangle amoureux,
avec un petit côté lutte des classes dedans, une morale bien d’époque comme on
si attendait et des rebondissements sympathiques à suivre. Grâce au talent des
interprètes (Anny Ondra, surtout,
dans un rôle majeur qui aurait pu gâcher tout le film), The Manxman se trouve être un de ses meilleurs films dans sa
période muette, dans la mesure où, au-delà de raconter comme un chef une
histoire simple, il continue à expérimenter de nouvelles techniques et parvient
à montrer le temps qui passe d’une manière particulièrement étonnante, sans
carton, juste visuellement. En 1929, c’est très classe.
The
Manxman est un joli adieu d’Alfred
Hitchcock au cinéma muet, dans la mesure où il parvient enfin à réaliser un
mélodrame passionnant, tout en expérimentant beaucoup.
Ma
Note : 15/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : CHAMPAGNE d’Alfred HITCHCOCK, un autre très bon
film muet de sa part.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire