RUNNING
MAN
THE
RUNNING MAN
The year is 2019. The finest men in America
don't run for President. They run for their lives.
Fiche Technique
REALISE
PAR : Paul Michael Glaser
ECRIT
PAR : Steven E. DeSouza
MUSIQUE
DE : Harold Faltermeyer & Vassal Benford
PRODUIT
PAR : George Linder & Tim Zinneman
PRODUCTION :
Braveworld – HBO – Keith Barish – TAFT
DISTRIBUE
PAR : TriStar aux USA et en France
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h41min
PUBLIC :
Interdit aux moins de 12 ans
SORTIE :
13 Novembre 1987 aux USA – 16 Mars 1988 en France
BUDGET :
27 Millions de Dollars
REVENUS :
38 Millions de Dollars (11 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Californie
GENRE :
Anticipation
DISPONIBILITE :
BluRay Zone B
SUITES :
Non
ARNOLD
SCHWARZENEGGER : Ben Richards
MARIA
CONCHITA ALONSO : Amber Mendez
YAPHET
KOTTO : William Laughlin
RICHARD
DAWSON : Damon Killian
MARVIN
J. MCINTYRE : Harold Weiss
MICK
FLEETWOOD : Mic
PROFESSOR
TORU TANAKA : Professor Subzero
ERLAND
VAN LIDTH DE JEUDE : Dynamo
JIM
BROWN : Fireball
JESSE
VENTURA : Captain Freedom
Synopsis
En 2019, après un énorme choc
économique, l’Amérique lance un programme télévisé où des gladiateurs
s’entretuent pour le plaisir du public. Ben Richards (ARNOLD SCHWARZENEGGER),
ancien policier, convaincu du massacre de pauvres gens dans une émeute, est
envoyé dans le jeu. Mais la Résistance l’enrôle pour détruire cette société de
l’intérieur.
Critique
Tiré d’un roman de Stephen King, The Running Man connut une production compliquée avec le renvoi d’Andrew Davis et l’arrivée de Paul Michael Glaser à la barre, ce qui
déplut fortement à Arnold Schwarzenegger.
Il n’y a pourtant pas forcément de
quoi râler quant au résultat final, tant The
Running Man reste un film divertissant, avec son background peu original
mais efficace, son côté décomplexé qui en fait un film d’action pur sans réel
thème derrière, malgré le sujet qui devait appeler à une réflexion un peu plus
poussée. Mais dans le genre anticipation avec un Schwarzenegger qui n’a pas grand-chose d’autre à faire qu’à casser
des bras et à lâcher des one-liners laconiques, The Running Man est tout à fait acceptable. Acceptable seulement,
car le film n’est pas sans défaut. En effet, The Running Man a quand même sacrément mal vieilli et se trouve
être visuellement hideux, au niveau des décors, des coiffures, des maquillages
et des effets. C’est aussi un peu long et assez répétitif, mais l’ex-culturiste
livre une excellente performance, tout comme Maria Conchita Alonso, Yaphet
Kotto et la galerie de gladiateurs (Jim
Brown, Erland van Lidth de Jeude, Professor Toru Tanaka) est parfaitement
antipathique à souhait.
The
Running Man n’est clairement pas un classique à la Total Recall, mais un film divertissant, rien de plus mais rien de
moins. De quoi passer une bonne soirée en famille.
Ma
Note : 13/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : TOTAL RECALL de Paul VERHOEVEN, un vrai
classique d’anticipation avec Schwarzy.
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