LA RACE
DES CHAMPIONS
THE BOY
IN BLUE
Every era has its own kind of hero
Winning was easy as he had nothing to lose
Fiche Technique
REALISE
PAR : Charles Jarrott
ECRIT
PAR : Douglas Bowie
MUSIQUE
DE : Roger Webb
PRODUIT
PAR : John Kemeny
PRODUCTION :
CBC – Regatta – Téléfilm Canada
DISTRIBUE
PAR : 20th Century Fox au Canada
ORIGINE :
Canada
DUREE :
1h40min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
17 Janvier 1986 au Canada
BUDGET :
8 Millions de Dollars Canadiens
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Quebec & Ontario
GENRE :
Biopic
DISPONIBILITE :
DVD Zone 1
SUITES :
Non
NICOLAS
CAGE : Ned Hanlan
CYNTHIA
DALE : Margaret
CHRISTOPHER
PLUMMER : Knox
DAVID
NAUGHTON : Bill
JEFF
WINCOTT : Riley
MELODY
ANDERSON : Dulcie
SEAN
SULLIVAN : Walter
PHILIP
CRAIG : Kinnear
GEORDIE
JOHNSON : Andrew Bothwell
WALTER
MASSEY : Mayor
Synopsis
Ned Hanlan (NICOLAS CAGE) est un
type sympa, un gentil garçon. Cette montagne de muscles est aussi le meilleur
rameur de godille du Canada. Aussi incontrôlable qu’attachant, il est remarqué
par Bill (DAVID NAUGHTON), qui décide de devenir son manager pour les courses à
venir. Mais un certain Knox (CHRISTOPHER PLUMMER) s’intéresse aussi à lui.
Critique
En 1986, Nicolas Cage commence vraiment à se faire un nom dans le cinéma
indépendant américain, surtout après Birdy
d’Alan Parker, dans lequel son
second rôle a marqué les esprits.
Le voilà donc dans son premier film
où il est seul en tête d’affiche, The
Boy in Blue. Ironie du sort, le film n’est pas américain, mais canadien.
Sous prétexte de parler d’aviron et d’innovation technique qui changèrent la
face de ce sport à jamais (le siège coulissant), le film est un véhicule
parfait pour Nicolas Cage, justement,
qui y trouve un rôle assez similaire à ce qu’il a eu auparavant : un type
sympathique, attachant, vraiment très étrange et incontrôlable. Contrairement à
Cotton Club où il prend le mauvais
chemin, dans The Boy in Blue, son
personnage n’a qu’une envie en tête : s’amuser et ça passe forcément par
l’aviron. Nicolas Cage donne le
maximum et se trouve être parfait pour ce rôle, tandis que les seconds rôles
comme Christopher Plummer et David Naughton sont tout aussi bons. Le
film de Charles Jarrott, bien qu’il
soit réalisé de manière impersonnelle, est plutôt bien écrit et ne perd jamais
la légèreté dont il fait preuve dès ses premiers instants. Malheureusement, la
musique omniprésente de Roger Webb
est assez datée et finit par très vite casser les oreilles des spectateurs des
années 2000’s, 2010’s, même s’ils aiment les synthés hallucinés…
The
Boy in Blue n’a rien de bien original ni même de bien indispensable. En
revanche, c’est clairement un bon film du samedi soir, une jolie petite
trouvaille qui aurait méritée d’être plus connue.
Ma
Note : 14/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : AMERICAN FLYERS de John BADHAM, absolument le
même genre de film.
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