L’AMOUR
NE S’ACHETE PAS
CAN’T
BUY ME LOVE
Ronald is making an investment in his senior year. He's hiring
the prettiest cheerleader in school to be his girlfriend.
Fiche Technique
REALISE
PAR : Steve Rash
ECRIT
PAR : Michael Swerdlick
MUSIQUE
DE : Robert Folk
PRODUIT
PAR : Thom Mount
PRODUCTION :
Apollo – Silver Screen – The Mount – Touchstone
DISTRIBUE
PAR : Buena Vista aux USA
ORIGINE :
USA
DUREE : 1h34min
DUREE : 1h34min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
14 Août 1988 aux USA
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
31 Millions de Dollars
LIEUX DE
TOURNAGE : Arizona
GENRE :
Teen RomCom
DISPONIBILITE :
DVD Zone 1
SUITES :
Non
PATRICK
DEMPSEY : Ronald Miller
AMANDA
PETERSON : Cindy Mancini
SETH
GREEN : Chuckie Miller
COURTNEY
GAINS : Kenneth Wurman
TINA
CASPARY : Barbara
DENNIS
DUGAN : David Miller
CLOYCE
MORROW : Judy Miller
SHARON
FARRELL : Mrs. Mancini
DEVIN
DEVASQUEZ : Iris
GERARDO
MEJIA : Ricky
Synopsis
Ronald Miller (PATRICK DEMPSEY) en a
marre d’être considéré comme un tocard dans son lycée. Rêvant de devenir une
star du lycée, il va donc passer un accord avec Cindy Mancini (AMANDA
PETERSON), la Queen Bee de l’établissement pour qu’elle fasse semblant d’être
sa petite amie pendant un mois, moyennant 1000 dollars.
Critique
Dans les années 80, le teen movie
était très répandu et on pouvait y voir de jeunes acteurs y faire leurs débuts
avant de devenir des personnes reconnues dans le métier.
Dans Can’t Buy Me Love, c’est Patrick
Dempsey qui joue un dork à la Anthony
Michael Hall qui en fait les frais. On peut aussi citer Seth Green, mais il se trouve qu’il est
plutôt sympathique ici, dans la lignée de sa carrière future. Le film de Steve Rash est en revanche un bien mauvais film, un de ces teen
movies qui copièrent le John Hughes de
la mauvaise époque, celui de Pretty in
Pink ou ce genre de comédie qui ont très mal vieilli et qui distillaient un
message d’une naïveté aberrante. Encore pire, Steve Rash est aussi un piètre réalisateur et il est incapable
d’incorporer à Can’t Buy Me Love le
moindre sens de rythme, tandis que les seconds rôles sont affreusement
insignifiants. C’est dommage car on avait vu que, la même année, Courtney Gains pouvait être un bon
acteur, avec sa performance dans l’excellent Colors. Le principal problème de Can’t Buy Me Love, de toute manière, c’est son scénario, avec ce
point de départ tout bonnement détestable et qui ne s’arrange pas, au fur et à
mesure que le film avance, voir qui va en empirant.
Can’t
Buy Me Love n’a pour lui que quelques scènes avec Dennis Dugan et Seth Green
et la chanson de Paul McCartney. Tout
le reste n’est qu’une catastrophe sans nom.
Ma
Note : 5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : PRETTY IN PINK de John HUGHES, ce genre de film
qui a fait du mal au teen movie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire