UN
POURRI AU PARADIS
MY BLUE
HEAVEN
A comedy about a government witness
who gives suburbia a culture shock.
Fiche Technique
REALISE
PAR : Herbert Ross
ECRIT
PAR : Nora Ephron
MUSIQUE
DE : Ira Newborn
PRODUIT
PAR : Herbert Ross & Anthea Sylbert
PRODUCTION :
Hawn/Sylbert – Warner Bros.
DISTRIBUE
PAR : Warner Bros. aux USA
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h37min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
17 Août 1990 aux USA
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
24 Millions de Dollars
LIEUX DE
TOURNAGE : Californie
GENRE :
Comédie
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
STEVE
MARTIN : Vincent Antonelli
RICK
MORANIS : Barney Coopersmith
JOAN
CUSACK : Hannah Stubbs
CAROL
KANE : Shaldeen
BILL
IRWIN : Kirby
MELANIE
MAYRON : Crystal Ryback
DANIEL
STERN : Will Stubbs
JESSE BRADFORD :
Jamie
WILLIAM
HICKEY : Billy Sparrow / Johnny Bird
COLEEN
CAMP : Dr. Margaret Snow Coopersmith
Synopsis
Vincent Antonelli (STEVE MARTIN) est
sous la protection des témoins après avoir vendu ses associés dans une grosse
affaire de mafia à New York. Son agent de protection, Barney Coopersmith (RICK
MORANIS), l’envoie dans une banlieue résidentielle de Californie. Coopersmith
doit donc tenir Antonelli assez longtemps pour qu’il puisse aller témoigner.
Critique
En Septembre 1990 sortit Les Affranchis de Martin Scorsese, sur la vie d’Henry
Hill, ce gangster qui avait vendu ses associés au FBI. Le film fut devancé
de quelques semaines par My Blue Heaven.
Cette comédie d’Herbert Ross est effectivement très librement inspirée par la vie
d’Henry Hill, tout en changeant les
noms et en oubliant totalement ce qu’il s’est passé avant sa mise sous
protection. Steve Martin y joue donc
un mafieux qui est placé en Californie et qui doit s’adapter à sa nouvelle vie
de citoyen réglo, sous les yeux du pauvre Rick
Moranis. Dit comme ça, ce film aurait dû être une comédie mémorable. Après
une première demi-heure magistrale, My
Blue Heaven s’écrase un peu, avec une intrigue qui se met en place et qui
détruit un peu toute la comédie burlesque et fish-off-the-water qui
s’installait doucement. En effet, rien ne dépassera un plan fabuleux où Steve Martin, dans l’ombre tout seul, se
passe du Tony Bennett (Stranger in Paradise bien évidemment)
pour se rappeler de sa vie d’antan. Malheureusement, ce plan se passe au bout
de 30 minutes et il n’y a rien de bien intéressant dans le reste du film,
hormis Steve Martin qui fait
absolument n’importe quoi, comme il en a le talent. Rick Moranis et le reste des seconds rôles sont trop peu importants
et Martin manque donc d’un contrepoids
qu’il avait avec Michael Caine dans Dirty Rotten Scoundrels.
Qu’on ne s’y trompe pas, My Blue Heaven est une comédie
sympathique pendant l’intégralité de sa durée, mais elle manque cruellement
d’une intrigue qui porterait le talent de Steve
Martin sur 90 minutes.
Ma
Note : 13/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : BOWFINGER de Frank OZ, voici une autre comédie
avec Martin où celui-ci a Eddie Murphy en contrepoids.
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