NUMERO
17
NUMBER
SEVENTEEN
A Great Play. A Great Novel
And an even Greater Movie.
Fiche Technique
REALISE
PAR : Alfred Hitchcock
ECRIT
PAR : Joseph Jefferson Farjeon
MUSIQUE
DE : Adolph Hallis
PRODUIT
PAR : Leon M. Lion & John Maxwell
PRODUCTION :
British International Pictures
DISTRIBUE
PAR : Wardour au Royaume-Uni
ORIGINE :
Royaume-Uni
DUREE : 1h6min
DUREE : 1h6min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
18 Juillet 1932 au Royaume-Uni
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Angleterre
GENRE :
Comédie policière
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES :
Non
LEON
M.LION : Ben
ANNE
GREY : Nora Brant
JOHN
STUART : Detective Barton
DONALD
CALTHROP : Mr. Brant
BARRY
JONES : Henry Doyle
ANN
CASSON : Rose Ackroyd
HENRY
CAINE : Mr. Ackroyd
GARRY
MARSH : Sheldrake
HERBERT
LANGLEY : Guard on Train
PEARL
HAY : Minor Role
Synopsis
L’inspecteur Barton (JOHN STUART)
est à la recherche d’un collier de diamants volé par un gang de voleur. Il se
retrouve dans une maison à louer où différentes personnes se mettent à
participer à l’intrigue. Parmi, on retrouve un vagabond (LEON M. LION) qui
semble en savoir bien plus qu’il n’y paraît sur le fin mot de l’affaire…
Critique
Alfred
Hitchcock était extrêmement critique sur son œuvre, surtout au début de sa
carrière. Lors de ses entretiens avec François
Truffaut, il éreinta son propre Numero
17.
Force est de constater qu’on
comprend bien pourquoi le film en l’état de convint pas à Alfred Hitchcock, qui réalise ici une comédie policière aussi
décousue qu’inintéressante, avec une première partie assommante tant elle
multiplie les personnages peu charismatiques et les acteurs qui en font des
caisses, Leon M. Lion bien en tête.
Tout y est bien trop complexe et tarabiscoté pour qu’on s’en passionne et cela
nuit à un film qui possède pourtant deux ou trois scènes réussies (le combat à
mains nues avec Garry Marsh est
plutôt bien foutu) et vingt dernières minutes qui sont, elles, passionnantes,
avec une course-poursuite dans un train lancé à grande vitesse et même un bateau
à vapeur… Alfred Hitchcock nous
laisse alors une fin digne d’un blockbuster des 80’s, véritable modernisme en
1932.
Vraiment, il est rageant de penser
qu’il ait fallu attendre 1h pour voir quelque chose d’important dans Numero 17, surtout que le film n’est
pas totalement antipathique. Juste ennuyeux à mourir.
Ma
Note : 8/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : RICH AND STRANGE d’Alfred HITCHCOCK, une autre
comédie, cette fois très réussie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire