ROSE
BONBON
PRETTY
IN PINK
He's good. She's good. He's just Duckie.
Les nouveaux teenagers américains
Fiche Technique
REALISE
PAR : Howard Deutch
ECRIT
PAR : John Hughes
MUSIQUE
DE : Michael Gore
PRODUIT
PAR : Lauren Shuler Donner
PRODUCTION :
Paramount
DISTRIBUE
PAR : Paramount aux USA – UIP en France
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h36min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
28 Février 1986 aux USA – 4 Juin 1986 en France
BUDGET :
9 Millions de Dollars
REVENUS :
40 Millions de Dollars (31 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Californie
GENRE :
RomCom Teen Movie
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
MOLLY
RINGWALD : Andie Walsh
JON
CRYER : Philip ”Duckie” F. Dale
ANDREW
MCCARTHY : Blane McDonough
HARRY
DEAN STANTON : Jack Walsh
ANNIE
POTTS : Iona
KATE VERNON :
Benny Hanson
KRISTY
SWANSON : Duckette
ANDREW
DICE CLAY : Bouncer at CATS
JAMES
SPADER : Steff McKee
GINA
GERSHON : Trombley
Synopsis
Andie Walsh (MOLLY RINGWALD) est une
adolescente folle amoureuse de Blane McDonough (ANDREW MCCARTHY), un étudiant
de son lycée, qui traîne avec le groupe des riches, dont l’ex d’Andie, Steff
(JAMES SPADER). Elle en fait part à son meilleur ami très étrange, Duckie (JON
CRYER), qui en revanche est amoureux d’Andie.
Critique
Je comprends totalement l’engouement
que les trentenaires ont pour John Hughes.
Dans les années 80, l’Américain a su parler à ses compatriotes avec
d’excellents films comme The Breakfast
Club ou Vacation.
Cependant, vers 1986, le type
stagne. En effet, après l’excellent The
Breakfast Club et European Vacation,
il réalise Weird Science qui est un
film plus irritant que drôle et livre un scénario semblable à Seize Bougies Pour Sam à Howard Deutch, Pretty in Pink. On y retrouve donc Molly Ringwald comme d’habitude, mais pas d’Anthony Michael Hall, qui voulait faire autre chose. Bien lui en a
pris, tant Pretty in Pink ressemble
comme deux gouttes d’eau à ce que Hughes
a fait auparavant, mais en moins bien. Le scénario du film est cousu de fil
blanc et va totalement à l’encontre de ce que le natif de Lansing a tenté de
nous démontrer au cours de sa carrière et se trouve être même détestable dans
son dernier acte. Sans concept à la Breakfast
Club, le film passe par tous les poncifs du genre, réalisé sans génie par
un yes man qui n’a jamais brillé par son talent derrière la caméra et joué par
des acteurs qui ne semblent pas concernés. Molly
Ringwald et James Spader sont
médiocres, Jon Cryer est
particulièrement irritant, comme d’habitude, et Harry Dean Stanton apparaît trop peu à l’écran. Pour ce qui est d’Andrew McCarthy, pourtant dans un rôle
charnière, il est tellement insignifiant qu’on l’oublie, ce qui est un comble
pour un tel rôle.
Pretty
in Pink n’est pas un si mauvais film que ça, certaines scènes sont très
réussies et Andrew Dice Clay a
plusieurs bonnes scènes en videur d’un bar branché. Mais quand on prend en
compte les talents en place, c’est un vrai gâchis, aussi inutile que trop long.
Ma Note :
7/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : SEIZE BOUGIES POUR SAM de John HUGHES, qui était
un vrai bon film, un peu raciste sur les bords, mais divertissant de bout en
bout.
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