GRAVITY
GRAVITY
Don’t let go
Ne rien lâcher
Fiche Technique
REALISE
PAR : Alfonso Cuaron
ECRIT
PAR : Alfonso Cuaron & Jonas Cuaros
MUSIQUE
DE : Steven Price
PRODUIT
PAR : Alfonso Cuaron & David Heyman
PRODUCTION :
Warner Bros. – Esperanto Filmoj – Heyday
DISTRIBUE
PAR : Warner Bros. aux USA et en France
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h31min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
4 Octobre 2013 aux USA – 23 Octobre 2013 en France
BUDGET :
105 Millions de Dollars
REVENUS :
475 Millions de Dollars (370 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Angleterre, USA & Canada
GENRE :
Drame
DISPONIBILITE :
Dans Vos Cinémas
SUITES :
Non
SANDRA
BULLOCK : Ryan Stone
GEORGE
CLOONEY : Matt Kowalski
PHALDUT
SHARMA : Shariff
ED
HARRIS : Mission Control
AMY
WARREN : Explorer Control
ORTO
IGNATIUSSEN : Aningaaq
BASHER
SAVAGE : Russian Space Station Captain
Synopsis
Lors de sa première mission dans
l’espace dans la station spatiale Explorer, l’astronaute Ryan Stone (SANDRA
BULLOCK) est confrontée au pire de ce que peut l’être humain peut
affronter : elle est laissée perdue
dans l’espace à cause de débris ayant détruit sa plateforme de travail.
Aidée par l’expérimenté Matt Kowalski (GEORGE CLOONEY) qui flottait autour avec
un jet-pack, elle tente de survivre à la dérive avec des débris qui continuent
à tout détruire autour d’elle. Pire encore, la liaison avec la Mission Control
(ED HARRIS) est très vite perdue…
Critique
Hormis un film de 1986 avec Charles Bronson sans aucun rapport avec
la loi du même nom et une comédie française de 2009 avec Omar Sy, il n’y avait pas de vrai film sur la Loi de Murphy.
Gravity
est un film qui représente tout à fait
ce qu’est la Loi de Murphy : ”Tout ce qui peut mal tourner va mal
tourner”. C’est ce qui arrive à Ryan
Stone, l’héroïne de ce drame spatial réalisé par le visionnaire Alfonso Cuaron. L’homme derrière Les Fils de l’Homme a donc réalisé un
des films marquants de cette décennie en partant de ce principe. Gravity est-il un de ces films
parfaits ? Non. Mais ce qui fera date dans l’Histoire du Cinéma, c’est son
esthétique absolument magnifique, qui ringardise tous les autres films en 3D de
profondeur (et donc pas ceux qui se servent de la 3D pour faire rire ou
effrayer, comme Fright Night ou Drive
Angry mais ceux qui servent de la 3D pour donner de la profondeur à
l’image) et qui procure par moments les mêmes sensations qu’une attraction du
Futuroscope, sans les sièges mouvants et sa retenue (hormis dans le score de Steven Price, vraiment grandiloquent)
comparée aux canons du genre. Ici, tout est calme ou presque. Quand la tragédie
frappe, elle surprend le spectateur, même s’il a compris les enjeux dramatiques
dès le départ. Visuellement splendide, il ne l’est pas narrativement. Si George Clooney et Ed Harris se trouvent être d’excellents doubleurs (on ne les voit
quasiment jamais, Clooney n’a qu’une
scène, géniale, et Harris aucune), Sandra Bullock prouve qu’elle n’a pas
gagné son Oscar en 2010 (The Blind Side)
pour rien. Elle a une présence incroyable et permet à son personnage
ultra-cliché d’exister et d’émouvoir un spectateur qui en a pourtant vu
d’autres.
Passionnant, pas forcément très original dans ses idées mais
dans son traitement, Gravity est un
véritable Game-Changer esthétique, qui a failli tout planter avec son scénario
convenu.
Ma
Note : 16.5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : MOON de Duncan JONES, dont le synopsis ressemble
beaucoup à celui-ci.
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