LES
RIVIERES POURPRES
THE
CRIMSON RIVERS
The crimes were unspeakable.
The reasons behind them
were unimaginable.
Fiche Technique
REALISE
PAR : Mathieu Kassovitz
ECRIT
PAR : Jean-Christophe Grangé & Mathieu Kassovitz
MUSIQUE
DE : Bruno Coulais
PRODUIT
PAR : Alain Goldman
PRODUCTION :
Gaumont – Légende – TF1 – Canal +
DISTRIBUE
PAR : Gaumont en France
ORIGINE :
France
DUREE :
1h46min
PUBLIC :
Interdit aux moins de 12 ans
SORTIE :
27 Septembre 2000 en France
BUDGET :
14 Millions de Dollars
REVENUS :
60 Millions de Dollars (46 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : France
GENRE :
Thriller
DISPONIBILITE :
BluRay Zone 2
SUITES :
Une suite en 2004 par Olivier Dahan.
JEAN
RENO : Commissaire Pierre Niemans
VINCENT
CASSEL : Lieutenant Max Kerkerian
NADIA
FARES : Fanny Ferreira
KARIM
BELKHADRA : Capitaine Dahmane
DIDIER
FLAMAND : le Recteur
LAURENT
LAFFITE : le fils du Recteur, Hubert
FRANCOIS
LEVANTAL : le Pathologiste
DOMINIQUE
SANDA : Sœur Andrée
PHILIPPE
NAHON : l’Homme des services technique d’autoroute
JEAN-PIERRE
CASSEL : Dr Bernard Chernezé
Synopsis
Le commissaire Pierre Niemans (JEAN
RENO) est envoyé à Guernon, une ville universitaire de Savoie, pour enquêter
sur une vague de meurtres au sein de cette université, dirigée par un recteur (DIDIER
FLAMAND) mystérieux. Il est assisté par un jeune lieutenant chien fou, Max
Kerkerian (VINCENT CASSEL) qui a aussi trouvé des cadavres de son côté.
Critique
Après ses trois premiers films
couronnés par la critique et auréolés de beaux succès commerciaux, il était
évident que Mathieu Kassovitz se voit
offrir une grosse production.
Les
Rivières Pourpres est une adaptation du roman du même titre de Jean-Christophe Grangé, ce dernier
cosignant le script avec Kassovitz avec
des acteurs en vogue à l’époque comme Jean
Reno ou Nadia Farès et des
habitués du réalisateur de La Haine,
Vincent Cassel et Karim Belkhadra. Tous ceux-ci sont particulièrement mauvais
(sauf bien sûr le toujours impeccable Jean
Reno, qui parvient à rester bon même dans les pires navets), pas aidés par
une réalisation catastrophique dès que le film est un peu musclé. Les scènes
d’action sont illisibles, à la limite du ridicule, là où les dialogues passent
allègrement la limite. Par exemple, le flic joué par Vincent Cassel fume un joint qu’il passe à un collègue. S’ensuit
une interminable discussion entre les flics présents pour savoir le pire entre
l’alcool et le cannabis au bureau. Evidemment, Mathieu Kassovitz prend le parti pris du cannabis. En soi, c’est
son choix. Le problème c’est que ce genre de dialogues ralentit
considérablement le rythme du film, déjà pas bien élevé et n’a rien à y faire. Autre
exemple, Vincent Cassel pète la
tronche à trois skinheads avant d’apprendre qu’ils n’ont rien à voir avec
l’affaire. Mais alors, pourquoi se sont-ils tapés dessus s’ils n’y sont pour
rien ? ”Parce que tu nous as pas demandé” rétorque un skin. A ce niveau-là
de nullité, il n’y a plus rien à faire. Surtout avec les rebondissements aussi
attendus qu’idiots et ce dénouement catastrophiquement nul.
Vous l’aurez compris, il n’y a pas
grand-chose à sauver dans cet abominable film policier qui rapporta pourtant
énormément d’argent au box-office. Mathieu
Kassovitz et Vincent Cassel n’ont
pas participé à la suite.
Ma
Note : 5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : ASSASSIN(S) de Mathieu KASSOVITZ, une autre
catastrophe.
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