EMBRASSE-MOI, VAMPIRE (VAMPIRE'S KISS) de Robert BIERMAN

EMBRASSE-MOI, VAMPIRE

VAMPIRE’S KISS

Seduction. Romance. Murder.

The things one does for love.

Fiche Technique

REALISE PAR : Robert Bierman

ECRIT PAR : Joseph Minion

MUSIQUE DE : Colin Towns

PRODUIT PAR : John Daly, Derek Gibson, Barry Shils & Barbara Zitwer

PRODUCTION : Magellan

DISTRIBUE PAR : Hemdale aux USA  - 20th Century Fox en France

ORIGINE : USA    
DUREE : 1h43min

PUBLIC : Pour tout public

SORTIE : 2 Juin 1989 aux USA – 17 Janvier 1990 en France

BUDGET : 2 Millions de Dollars

REVENUS : 1 Million de Dollars (1 Million de Pertes)

LIEUX DE TOURNAGE : New York

GENRE : Comédie horrifique

DISPONIBILITE : DVD Zone 2

SUITES : Non

NICOLAS CAGE : Peter Loew

MARIA CONCHITA ALONSO : Alva Restrepo

JENNIFER BEALS : Rachel

KASI LEMMONS : Jackie

ELIZABETH ASHLEY : Dr. Glaser

JOHNNY WALKER : Donald

JOHN MICHAEL HIGGINS : Ed

BOB LUJAN : Emilio

JESSICA LUNDY : Sharon

MICHAEL KNOWLES : Andrew

Synopsis

            Peter Loew (NICOLAS CAGE) le sait, il est en train de devenir complètement fou et ses séances de psychanalyse avec le Dr. Glaser (ELIZABETH ASHLEY) ne marchent pas. Lorsqu’il est mordu par Rachel (JENNIFER BEALS) et qu’il se transforme en vampire, rien ne s’arrange pour Loew, qui se met à harceler sa secrétaire (MARIA CONCHITA ALONSO)…

Critique

            Le début de carrière de Nicolas Cage fut rempli de projets tous aussi étranges les uns que les autres. Entre Birdy, Moonstruck et Raising Arizona, les films sont singuliers et ne ressemblent à rien d’autre.

            Autant vous dire que le champion dans cette catégorie, c’est Vampire’s Kiss. Sombre histoire d’agent littéraire devenu vampire à cause d’une morsure lors d’un pré-coït, le film de Robert Bierman a un rythme anémique, un manque cruel de seconds rôles intéressants (les personnages de Kasi Lemmons, Jennifer Beals et Elizabeth Ashley sont trop peu travaillés) et une réalisation impersonnelle alors que le sujet appelait beaucoup de fantaisie. Sauf qu’à un moment donné, Nicolas Cage se fait mordre par Jennifer Beals. Et là, la fête peut commencer. Nicolas Cage devient donc malade, se transforme peu à peu en vampire, fait absolument n’importe quoi, hurle, gesticule, saute sur les tables, hurle à nouveau, se gratte, saigne, parle tout seul, divague, harcèle sa secrétaire jouée par l’excellente Maria Conchita Alonso et continue à hurler. C’est un véritable one-man show furieusement drôle et diablement divertissant. Il en vampirise (…) même le message du film sur la solitude dans une grande ville.

            Vampire’s Kiss est un film sauvé par son acteur principal, qui fait à peu près tout dans le film et qui y livre une performance remarquable mais très cabotine et kamikaze. Seulement pour les amateurs.

Ma Note : 13/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : ZANDALEE de Sam PILLSBURY, un autre film où Nicolas Cage fait n’importe quoi.