INDIANA
JONES ET LA DERNIERE CROISADE
INDIANA JONES AND THE LAST CRUSADE
Have the adventures of your life keeping
up with the Joneses
This time, he's bringing his Dad.
Fiche Technique
REALISE
PAR : Steven Spielberg
ECRIT
PAR : Jeffrey Boam
MUSIQUE
DE : John Williams
PRODUIT
PAR : Robert Watts
PRODUCTION :
Paramount – LucasFilm
DISTRIBUE
PAR : Paramount aux USA – UIP en France
ORIGINE :
USA
DUREE :
2h7min
PUBLIC :
USA
SORTIE :
24 Mai 1989 aux USA – 16 Octobre 1989 en France
BUDGET :
48 Millions de Dollars
REVENUS :
474 Millions de Dollars (426 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Espagne, USA, Mexique, Allemagne, Italie, Jordanie
GENRE :
Aventures
DISPONIBILITE :
BluRay Zone B
SUITES :
Fin de la première trilogie, avant d’être suivie par un film en 2008
HARRISON FORD : Indiana Jones
SEAN CONNERY : Henry Jones
ALISON DOODY : Dr. Elsa Schneider
JULIAN GLOVER : Walter Donovan
DENHOLM ELLIOTT : Marcus Brody
JOHN RHYS-DAVIES : Sallah
MICHAEL BYRNE : General Vogel
KEVORK MALIKYAN : Kazim
ROBERT EDDISON : Grail Knight
RIVER PHOENIX : Young Indiana
Synopsis
En 1938, aidé de Marcus Brody (DENHOLM ELLIOTT) et Sallah (JOHN
RHYS-DAVIES), Indiana Jones (HARRISON FORD) est envoyé par Walter Donovan
(JULIAN GROVER) à la recherche de son père, Henry (SEAN CONNERY), parti sur la
piste du Saint Graal, convoité par les Nazis et le terrible Général Vogel
(MICHAEL BYRNE).
Critique
Une saga qui marche a toujours
plusieurs suites, aussi dispensables qu’elles peuvent être. Le deuxième Indiana Jones l’était. Il fallait donc
corriger ça avec un troisième épisode plus proche du premier.
Force est de constater que Steven Spielberg avait compris la leçon,
au vu d’une introduction particulièrement réussie (avec l’immense River Phoenix) et d’une histoire bien
plus légère et familiale que le deuxième épisode, trop noir. Harrison Ford et Sean Connery forment un duo très convaincant qui porte le film dans
ses moments un peu longs. Le supporting cast (avec le retour des immenses John Rhys-Davies & Denholm Elliott) est au diapason, au
service donc d’une course poursuite à travers le monde pour récupérer le Saint
Graal qui monte crescendo jusqu’à une dernière demi-heure tout bonnement
exceptionnelle, sorte de suites d’épreuves pour Indy afin d’arriver au Graal. On touche à la perfection, là-dessus.
Encore bien rythmée par un très bon score de John Williams, des effets spéciaux grand-guignolesques et un nombre
de cascades abracadabrant (sans jamais trop se répéter), cette aventure est de
plus franchement drôle par moments, ce que le deuxième épisode n’était presque
jamais.
Indiana
Jones et la Dernière Croisade est le digne héritier des Aventuriers de l’Arche Perdue, de par
sa bonne humeur, son humour décapant et l’enthousiasme qu’il procure au
spectateur.
Ma
Note : 17/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : LES AVENTURIERS DE L’ARCHE PERDUE de Steven
SPIELBERG, le modèle.
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