TERMINATOR :
RENAISSANCE
TERMINATOR
SALVATION
The End Begins
We Fight Back
Fiche Technique
REALISE
PAR : McG
ECRIT
PAR : John D. Brancato & Michael Ferris
MUSIQUE
DE : Danny Elfman
PRODUIT
PAR : Derek Anderson, Moritz Borman, Victor Kubicek & Jeff Silver
PRODUCTION :
The Halcyon Company – Wonderland
DISTRIBUE
PAR : Warner Bros. aux USA – Sony en France
ORIGINE :
USA / Allemagne / Royaume-Uni / Italie
DUREE :
1h58min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
21 Mai 2009 aux USA – 3 Juin 2009 en France
BUDGET :
200 Millions de Dollars
REVENUS :
371 Millions de Dollars (171 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Nouveau-Mexique & Californie
GENRE :
Science-Fiction
DISPONIBILITE :
BluRay Zone B
SUITES :
4e opus de la saga TERMINATOR
CHRISTIAN
BALE : John Connor
SAM
WORTHINGTON : Marcus Wright
MOON
BLOODGOOD : Blair Williams
ANTON
YELCHIN : Kyle Reese
JADAGRACE :
Star
COMMON :
Barnes
BRYCE
DALLAS HOWARD : Kate Connor
MICHAEL
IRONSIDE : General Ashdown
DORIAN
NKONO : David
HELENA BONHAM CARTER : Dr.
Serena Kogan
Synopsis
Marcus Wright (SAM WORTHINGTON) fut
exécuté en 2003 pour le meurtre de sa sœur. Le docteur Kogan (HELENA BONHAM
CARTER) lui demande de donner son corps à la science. Marcus se réveille en
2018, 14 ans après l’attaque de Skynet, et rencontre John Connor (CHRISTIAN
BALE), le leader de la Résistance…
Critique
On aura attendu six ans avant de
voir la suite de l’immense et mal-aimé Terminator
3 : Le Soulèvement des Machines, avec un joli development hell à la
clef pour un résultat plutôt rapide, en fin de compte.
Mis en scène par McG, devenu donc yes man après ses deux Charlie’s Angels, Terminator : Salvation est loin d’être un mauvais film, dans
la mesure où celui-ci reste plutôt divertissant pendant ses deux heures. En
effet, Terminator : Salvation
est un blockbuster générique avec des scènes d’action frénétiques et parfois
très efficaces malgré l’image grisâtre (mais pas forcément laide) du film, des
personnages taillés à la serpe mais interprétés par des acteurs plutôt corrects
comme Christian Bale, Moon Bloodgood
et même Sam Worthington, un score
tonitruant mais sympathique de Danny
Elfman, des gamins agaçants et immortels, un scénario bien trop sérieux
pour son propre bien et bien évidemment une fin ouverte pour forcer les gens
qui se sont vaguement intéressés à l’histoire à aller voir la suite pour en
connaître le fin mot. Terminator :
Salvation n’offre donc rien de nouveau à une saga qui aurait dû s’arrêter
avec l’immense volet de Jonathan Mostow
et bien que ce soit inquiétant de voir un tel manque d’ambition pour la suite
de la franchise, il n’empêche qu’on ne peut penser qu’à l’avenir radieux de la
saga.
On retrouvera donc un cinquième opus
en 2015, Terminator : Genysis,
réalisé par un autre yes man, Alan Taylor.
Rien de bien engageant, mais s’il parvient à être aussi bon que celui-là, ce ne
pourra pas être mauvais.
Ma
Note : 12.5/20
Si Vous Avez
Aimé, Vous Aimerez : TERMINATOR 3 de Jonathan MOSTOW, le mètre-étalon de
la suite ultra-divertissante.
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