JURASSIC
WORLD
JURASSIC
WORLD
The Park is Open
Le parc est ouvert
Fiche Technique
REALISE
PAR : Colin Trevorrow
ECRIT
PAR : Rick Jaffa, Amanda Silver, Colin Trevorrow & Derek Connolly
MUSIQUE
DE : Michael Giacchino
PRODUIT
PAR : Patrick Crowley & Frank Marshall
PRODUCTION :
Universal – Amblin – Legendary – Dentsu – Fuji
DISTRIBUE
PAR : Universal aux USA et en France
ORIGINE :
USA
DUREE :
2h4min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
12 Juin 2015 aux USA – 10 Juin 2015 en France
BUDGET :
150 Millions de Dollars
REVENUS :
1669 Millions de Dollars (1519 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Louisiane, Hawaii
GENRE :
Aventures
DISPONIBILITE :
BluRay Zone B
SUITES :
Quatrième épisode de la saga
CHRIS
PRATT : Owen
BRYCE
DALLAS HOWARD : Claire
IRRFAN
KHAN : Masrani
VINCENT
D’ONOFRIO : Hoskins
TY
SIMPKINS : Gray
NICK
ROBINSON : Zach
JAKE
JOHNSON : Lowery
LAUREN
LAPKUS : Vivian
OMAR
SY : Barry
B.D.
WONG : Dr. Henry Wu
Synopsis
Simon Masrani (IRRFAN KHAN), un
milliardaire indien, décide de rouvrir un parc d’attraction avec des
dinosaures. Ses scientifiques, menés par le docteur Henry Wu (B.D. WONG), ont
créé une nouvelle race de dinosaure qui, lors d’une journée bondée, décide
d’attaquer les vacanciers. Owen Grady (CHRIS PRATT) va devoir sauver la mise.
Critique
Il y a un intérêt à Jurassic Park que je n’ai pas encore
réussi à comprendre. Mais la saga continue à faire du profit et à plaire aux
gens, avec son côté enchanteur et effrayant.
Après des années de développement, Jurassic World est enfin sorti cette
année, réalisé par le futur golden boy du cinéma Colin Trevorrow. Malheureusement, on est bien plus proche du
faussement décontracté The Lost World
avec des personnages terriblement unidimensionnels que du très fun mais quelque
peu superficiel Jurassic Park III.
Pourtant, le film de Trevorrow
démarre très bien avec une belle introduction du parc. Mais une fois l’élément
déclencheur arrivé, on retrouve tout ce qui fait le sel aigre de la saga :
les héros ont des réactions purement égoïstes tout le film (Omar Sy disparait du film pour
réapparaître à la fin sans raison, à cause de l’égoïsme du personnage de Chris Pratt), les méchants sont très
méchants et périssent grâce à des deus ex machina plus gros que le nouvel
Indominus Rex, qui est bien évidemment une créature qui se retourne contre son
créateur…
C’est dommage de voir qu’il n’y a
rien de nouveau sous le soleil d’Isla Nublar. Or, Trevorrow est un directeur d’acteur acceptable, ce qui sauve la
mise sur plusieurs scènes, comme celles de Jake
Johnson et de Lauren Lapkus¸ qui
ont une alchimie remarquable ou Vincent
d’Onofrio qui parvient à ne pas être ridicule malgré le rôle abominable
qu’on lui fait jouer. En revanche, Trevorrow
ne parvient pas à donner d’énergie à son film, que ce soit dans les scènes
d’exposition post-introduction ou dans les scènes d’action, plus répétitives
qu’autre chose. Ajoutons-y un sens de l’humour plus gênant qu’autre chose (montrons
plusieurs fois Bryce Dallas Howard en
talons, disons-lui clairement qu’elle ne peut pas courir avec et montrons là en
train de courir avec l’ironie ridicule du mec qui pense être plus malin que son
public) et un body count qui en devient absurde tant il est gonflé
artificiellement et vous avez un film extrêmement rageant.
Jurassic
World est un bien mauvais film qui ne mérite qu’un mépris certain. Le pire
dans tout ça, c’est que le film est extrêmement ennuyeux. Et ça, c’est
peut-être le plus gros pêché de l’œuvre.
Ma
Note : 5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : LE MONDE PERDU de Steven SPIELBERG, le film qui
s’en rapproche le plus.
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