jeudi 24 mars 2016

RUNNING MAN (THE RUNNING MAN) de Paul Michael GLASER

RUNNING MAN
THE RUNNING MAN
The year is 2019. The finest men in America
don't run for President. They run for their lives.


Fiche Technique

REALISE PAR : Paul Michael Glaser
ECRIT PAR : Steven E. DeSouza
MUSIQUE DE : Harold Faltermeyer & Vassal Benford
PRODUIT PAR : George Linder & Tim Zinneman
PRODUCTION : Braveworld – HBO – Keith Barish – TAFT
DISTRIBUE PAR : TriStar aux USA et en France
ORIGINE : USA
DUREE : 1h41min
PUBLIC : Interdit aux moins de 12 ans
SORTIE : 13 Novembre 1987 aux USA – 16 Mars 1988 en France
BUDGET : 27 Millions de Dollars
REVENUS : 38 Millions de Dollars (11 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE TOURNAGE : Californie
GENRE : Anticipation
DISPONIBILITE : BluRay Zone B
SUITES : Non

ARNOLD SCHWARZENEGGER : Ben Richards
MARIA CONCHITA ALONSO : Amber Mendez
YAPHET KOTTO : William Laughlin
RICHARD DAWSON : Damon Killian
MARVIN J. MCINTYRE : Harold Weiss
MICK FLEETWOOD : Mic
PROFESSOR TORU TANAKA : Professor Subzero
ERLAND VAN LIDTH DE JEUDE : Dynamo
JIM BROWN : Fireball
JESSE VENTURA : Captain Freedom

Synopsis

            En 2019, après un énorme choc économique, l’Amérique lance un programme télévisé où des gladiateurs s’entretuent pour le plaisir du public. Ben Richards (ARNOLD SCHWARZENEGGER), ancien policier, convaincu du massacre de pauvres gens dans une émeute, est envoyé dans le jeu. Mais la Résistance l’enrôle pour détruire cette société de l’intérieur.

Critique

            Tiré d’un roman de Stephen King, The Running Man connut une production compliquée avec le renvoi d’Andrew Davis et l’arrivée de Paul Michael Glaser à la barre, ce qui déplut fortement à Arnold Schwarzenegger.
            Il n’y a pourtant pas forcément de quoi râler quant au résultat final, tant The Running Man reste un film divertissant, avec son background peu original mais efficace, son côté décomplexé qui en fait un film d’action pur sans réel thème derrière, malgré le sujet qui devait appeler à une réflexion un peu plus poussée. Mais dans le genre anticipation avec un Schwarzenegger qui n’a pas grand-chose d’autre à faire qu’à casser des bras et à lâcher des one-liners laconiques, The Running Man est tout à fait acceptable. Acceptable seulement, car le film n’est pas sans défaut. En effet, The Running Man a quand même sacrément mal vieilli et se trouve être visuellement hideux, au niveau des décors, des coiffures, des maquillages et des effets. C’est aussi un peu long et assez répétitif, mais l’ex-culturiste livre une excellente performance, tout comme Maria Conchita Alonso, Yaphet Kotto et la galerie de gladiateurs (Jim Brown, Erland van Lidth de Jeude, Professor Toru Tanaka) est parfaitement antipathique à souhait.
            The Running Man n’est clairement pas un classique à la Total Recall, mais un film divertissant, rien de plus mais rien de moins. De quoi passer une bonne soirée en famille.
Ma Note : 13/20


Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : TOTAL RECALL de Paul VERHOEVEN, un vrai classique d’anticipation avec Schwarzy. 

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