vendredi 10 juin 2016

URBAN JUSTICE de Don E. FAUNTLEROY

URBAN JUSTICE
URBAN JUSTICE
When revenge is personal, justice can be brutal.
Vengeance personnelle. Justice brutale.


Fiche Technique

REALISE PAR : Don E. FauntLeRoy
ECRIT PAR : Gilmar Fortis II
MUSIQUE DE : Peter Meisner
PRODUIT PAR : Steven Seagal
PRODUCTION : Sony – XIT – Steamroller – Hood to Hood
DISTRIBUE PAR : Sony aux USA
ORIGINE : USA
DUREE : 1h36min
PUBLIC : Pour tout public
SORTIE : DTV 2007 aux USA
BUDGET : Pas d’Infos
REVENUS : Pas d’Infos
LIEUX DE TOURNAGE : Albuquerque & Los Angeles
GENRE : Thriller
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Non

STEVEN SEAGAL : Simon Ballister
EDDIE GRIFFIN : Armand Tucker
DANNY TREJO : El Chivo
CARMEN SERRANO : Alice Park
JADE YORKER : Gary Middleton
CORY HART : Max Ballister
KIRK B. R. WOLLER : Frank Shaw
LIEZL CARSTENS : Linda
DIEGO LOPEZ : Winston
BRIAN LUCERO : Benny

Synopsis

            Quand Max Ballister (CORY HART), policier dans les quartiers chauds de Los Angeles, se fait dessouder après avoir eu un coup de téléphone de son indic, Gary Middleton (JADE YORKER). Simon Ballister (STEVEN SEAGAL), le père de Max, décide d’aller enquêter et tombe sur un endroit aux prises à une guerre des gangs.

Critique

            Compliqué de passer après Attack Force et surtout Flight of Fury dans la filmographie d’un Steven Seagal qui devient de pire en pire, film après film. Mais Urban Justice était réalisé par Don E. FauntLeRoy.
            Directeur photo de quelques grands films, Don E. FauntLeRoy est aussi le réalisateur de Today You Die et de Mercenary For Justice, deux des moins mauvais DTV avec Steven Seagal. On pouvait donc avoir confiance en ce Urban Justice, qui semblait retourner à l’époque où l’aikidoka se retrouvait en train d’enquêter dans des milieux urbains qui lui étaient hostiles, pas un de ces films boursouflés avec des CGI scandaleux et des intrigues incompréhensibles. Clairement, Urban Justice commence comme cela, avec des personnages débiles mais simples, une histoire de vengeance, Seagal qui nous refait son numéro de charme et de charisme aussi ringard qu’hilarant… Pendant 30 minutes, on pourrait croire à Eddie Griffin en patron d’un gang opposé à un autre gang tenu par Danny Trejo, par exemple. Mais passé cette jolie ouverture, on s’ennuie ferme et plus rien ne se passe hormis quelques bourre-pifs filmés n’importe comment. On attend donc patiemment un Big Showdown qui n’arrive absolument pas, ou alors de manière si décevante qu’il est facile de l’oublier une fois le générique de fin commencé.
            Urban Justice est donc un nouvel item dans la liste du Hall of Shame de Steven Seagal. Mais pire que certains comme Submerged dont on n’attendait rien, Urban Justice est décevant…
Ma Note : 6.5/20


Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : NICO d’Andrew DAVIS, qui lui était un vrai bon film.

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