THE GOD OF COOKERY
SIK SAN
Fiche Technique
REALISE PAR : Stephen Chow &
Lee Lik-Chi
ECRIT PAR : Stephen Chow, Man Sang
Lo & Kan-Cheung Tsang
MUSIQUE
DE : Clarence Hui & Ronald Ng
PRODUIT PAR : Stephen Chow &
Kwok-fai Yeung
PRODUCTION : Star Overseas
DISTRIBUE
PAR : CN à Hong-Kong
ORIGINE :
Hong Kong
DUREE :
1h35min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
21 Décembre 1996 à Hong Kong
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
15 Millions d’Hong-Kong Dollars
LIEUX DE
TOURNAGE : Hong Kong
GENRE :
Mo Lei Tau
DISPONIBILITE :
DVD Toutes Zones
SUITES :
Non
STEPHEN CHOW : Stephen Chow, the God
of Cookery
KAREN MOK : Turkey
VINCENT KOK : Bull Tong
SIU-KEI LEE : Goosehead
NANCY SIT : The Princess of Taste
TATS LAU : Wet Dream
KAI MAN TIN : Green-Haired Triad
Member
KAR-YING LAW : Competition Master of
Ceremonies
STEPHEN
AU : Emcee
KIN-YAN LEE : Fan Club Member
Synopsis
Stephen
Chow (STEPHEN CHOW) est surnommé dans tout Hong Kong le God of Cookery. Cependant, un jour, Bull Tong (VINCENT KOK), son ennemi juré, le
piège et s’aperçoit que Chow est une arnaque, un poseur. Ce dernier est donc
chassé et se retrouve dans la rue.
Critique
Parler
d’un film de Stephen Chow a toujours
été compliqué, tant ils sont débiles, absurdes et clairement ciblés pour un
public dont les Occidentaux sont un peu ostracisés (pas mal de gags homophobes
et xénophobes).
Eh bien ce God of Cookery est bien plus proche d’une comédie occidentale que
les précédents travaux de Stephen Chow.
La construction de l’intrigue est plutôt réussie et les gags un peu moins
“localisés“ qu’avant. Cependant, on notera encore quelques gags très chinois,
avec des gros plans sur des acteurs vraiment très théâtraux. Le trio formé de Stephen Chow, Karen Mok et Siu-Kei Lee
est vraiment efficace, Vincent Kok est
un bon méchant et on retrouve les habitués, Tats
Lau, Kai Man Tin et Man-Tat Ng.
Le film a encore 20 ans de retard sur ce qu’on faisait aux USA en 1996, mais il
reste quand même très drôle et rattrape presque son retard dans les 20
premières minutes, vraiment hilarantes, avant de baisser clairement de pied
pendant 20 autres minutes. Le reste du film est très drôle, mais rien n’égalera
ce prologue de fou, bien meilleur que tout ce qu’a fait Chow auparavant.
God
of Cookery possède donc le meilleur de Chow
mais aussi des éléments plus classiques et bien moins drôles que son début.
Quand on commence aussi fort, dur de tenir la barre tout le film.
Ma
Note : 15/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : SHAOLIN SOCCER de Stephen CHOW, comédie qui
arrive à presqu’atteindre le niveau des premières 20 minutes et qui tient la
route 1h30 durant.
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