HERCULE A NEW YORK
HERCULES IN NEW YORK
The movie with MUSCLE
Fiche Technique
REALISE
PAR : Arthur Allan Seidelman
ECRIT
PAR : Aubrey Wisberg
MUSIQUE
DE : John Balamos
PRODUIT
PAR : Aubrey Wisberg
PRODUCTION :
Filmpartners – RAF Industries
DISTRIBUE
PAR : Trimark aux USA
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h31min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
25 Février 1970 aux USA
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : New York City,NY aux USA
GENRE :
Comédie Fantastique
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES : Non
ARNOLD SCHWARZENNEGER : Hercules
ARNOLD STANG : Pretzie
DEBORAH LOOMIS : Helen Camden
JAMES KAREN : Professor Camden
ERNEST
GRAVES : Zeus
MICHAEL
LIPTON : Pluto
TANNY MCDONALD : Juno
MERWIN GOLDSMITH : Maxie
GEORGE BARTENIEFF : Nitro
HAROLD BURSTEIN : Rod Nelson
Synopsis
Hercule (ARNOLD SCHWARZENNEGER) est
chassé de l’Olympe par son père Zeus (ERNEST GRAVES) qui en a marre de ses
provocations. Arrivant à New York, il rencontre Pretzie. (ARNOLD STANG), un
pékin sans envergure qui décide de s’en servir comme garde du corps.
Critique
Chaque acteur hollywoodien qui se
respecte a commencé dans un film mineur, une daube annoncée, un projet débile
ou une série TV minable. Ici, ce sont les débuts d’Arnold Schwarzenneger.
Hercules In New York, réalisé par un yes man anonyme de la TV des 70’s américaine, Arthur Allan Seidelman, est donc le
premier film du bodybuilder autrichien, qui avait d’ailleurs du être doublé
pour l’occasion, son accent étant jugé trop incompréhensible et renommé Arnold Strong, ce qui seyait à merveille
avec son sidekick, Arnold Stang,
petit New Yorkais sans envergure mais vraiment amusant. C’est d’ailleurs le
miroir du film : sans envergure aucune, mais diablement amusant. Le
scénario est indigent, le budget y est tellement maigre que l’Olympe est un
parc naturel et que les toges sont des draps, que les combats y sont en hors
champs et que le seul vrai duel que Schwarzy
a à effectuer est un concours d’haltérophilie, mais le film est amusant, car
mis en scène avec un sens du rythme plutôt efficace et joué avec beaucoup de
second degré par une équipe qui a du s’amuser à faire ce film. On en viendrait
presque à regretter ce manque d’ambition critique qui amène un manque de
rigueur et une musique d’abord insipide et ensuite insupportable.
En effet, Hercules In New York était proche du “si nul que ça en devient
bien“, mais quelques trop gros défauts viennent perturber un spectateur qui
s’attendait quand même à voir pire. Une bonne surprise.
Ma
Note : 12/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : THOR de Kenneth BRANAGH, qui tourne à peu près
autour du même temps, avec beaucoup plus de talent.
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