LADY VEGAS - LES MEMOIRES D'UNE JOUEUSE (LAY THE FAVORISE) de Stephen FREARS

LADY VEGAS – LES MEMOIRES D’UNE JOUEUSE

LAY THE FAVORITE

Fiche Technique

REALISE PAR : Stephen Frears

ECRIT PAR : D. V. DeVincentis

MUSIQUE DE : James Seymour Brett

PRODUIT PAR : Anthony Bregman, D. V. DeVincentis, Randall Emmett, George Furla, Paul Trijbits

PRODUCTION : Emmett/Furla – Random House – Likely Story – Ruby

DISTRIBUE PAR : The Weinstein Company aux USA – Wild Bunch en France

ORIGINE : USA / Royaume-Uni

DUREE : 1h34

PUBLIC : Pour Tout Public

SORTIE : 22 Juin 2012 au Royaume-Uni – 8 Août 2012 en France

BUDGET : 20 Millions de Dollars                                                                

REVENUS : Pas d’Infos

LIEUX DE TOURNAGE : Nevada & Louisiane aux USA

GENRE : Comédie Dramatique

DISPONIBILITE : Dans Vos Cinémas

SUITES : Non

REBECCA HALL : Beth Reimer

BRUCE WILLIS : Dink Heimowitz

CATHERINE ZETA-JONES : Tulip Heimowitz

JOSHUA JACKSON : Jeremy

LAURA PREPON : Holly

JOHN CARROLL LYNCH : Dave Greenberg

FRANK GRILLO : Frankie

WAYNE PERE : Scott

VINCE VAUGHN : Rosie

CORBIN BERNSEN : Beth’s Father

Synopsis

            Beth Reimer (REBECCA HALL) decide de quitter son Etat natal, où elle était escort girl pour devenir serveuse à Las Vegas, où elle rencontre Dink (BRUCE WILLIS), un parieur professionnel qui la prend sous son aile et lui fait découvrir les ficelles du métier.

Critique

                Même s’il lui est arrivé de se planter dans les grandes largeurs, un film de Stephen Frears est une bonne nouvelle pour tout cinéphile qui se respecte. Alors quand il obtient un aussi beau casting, on se jette sur Lady Vegas.

            Malheureusement pour nous, Stephen Frears ne s’est intéressé à ce projet uniquement pour le chèque à la fin du mois, visiblement. Loin d’être un navet, Lady Vegas ne parvient jamais à convaincre totalement. La faute à un casting étrange, qui permet à Vince Vaughn, Corbin Bernsen ou encore Joshua Jackson de briller tout en étant très mal utilisés, bien trop peu mais qui envoie à l’échafaud Rebecca Hall, qui doit surjouer l’hystérique neuneu pour son personnage insupportable. C’est d’autant plus rageant que le sujet était excellent, centré sur la ville de Las Vegas. A trop vouloir jouer la comédie, D. V. DeVincentis oublie un peu son sujet, les paris, et manque clairement de documentation et perd parfois totalement son spectateur. 

            Peu de réalisateurs savent plonger leurs spectateurs dans un monde qui leur est inconnu et leur rendre le film passionnant. Un Stephen Frears en petite forme n’en fait malheureusement pas partie. Lady Vegas n’est qu’un film vaguement réussi, vaguement amusant.

Ma Note : 13/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : TWO FOR THE MONEY de D.J. CARUSO, sur le même thème des paris sportifs.