PAS
FACILE D’ETRE PAPA
A COOL,
DRY PLACE
Love, sex
and starting over...
Fiche Technique
REALISE
PAR : John N. Smith
ECRIT
PAR : Matthew McDuffie
MUSIQUE
DE : Curt Sobel
PRODUIT
PAR : Katie Jacobs & Gail Mutrux
PRODUCTION :
Fox 2000 – Jacobs/Mutrux
DISTRIBUE
PAR : 20th Century Fox aux USA
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h37min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
29 Janvier 1999 aux USA
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
4.000 Dollars
LIEUX DE
TOURNAGE : Ontario
GENRE :
Mélodrame
DISPONIBILITE :
DVD Zone 1
SUITES :
Non
VINCE
VAUGHN : Russell Durrell
BOBBY
MOAT : Calvin Durrell
DEVON
SAWA : Noah Ward
MONICA
POTTER : Kate Durrell
JOEY
LAUREN ADAMS : Beth Ward
DEAN
MCDERMOTT : Sheriff Pritchard
TODD
LOUISO : Bob Harper
SIOBHAN
FALLON : Charlotte
SKIPP
SUDDUTH : Jack Newbauer
CHRIS
BAUER : Larry Ives
Synopsis
Russell (VINCE VAUGHN), à la fois
avocat et coach de basket dans le Kansas, se retrouve dépourvu quand son
ex-femme (MONICA POTTER), lui colle dans les pattes son fils, Calvin (BOBBY
MOAT) et disparaît à nouveau. Russell tombe alors amoureux de Beth Ward (JOEY
LAUREN ADAMS), mais cette nouvelle idylle est mise à mal quand Kate revient…
Critique
En revisitant la filmographie de Vince Vaughn, force est de constater que
l’acteur a fait très peu de comédies avant 2003, qui nous le montre sous ses
prédispositions comiques dans Old
School.
A
Cool, Dry Place n’est clairement pas une
comédie du genre aujourd’hui qui régit la carrière de Vince Vaughn. A la place, on est dans un mélodrame à la limite du
film LifeTime s’il n’y avait cette
chaleur effective dans le traitement des scènes entre le père et son fils,
interprété par le sympathique Bobby Moat.
Malheureusement, hormis un excellent casting, il n’y a rien d’original dans ce
film, rien qui pourrait accrocher le regard d’un spectateur rompu à ce genre
d’histoire où on colle une jolie fille et une ex-femme à un homme en proie au
doute pour qu’il se pose des questions sur sa vie pendant 90 minutes.
Clairement, John N. Smith ne s’est
pas fait un nom dans le cinéma (sauf peut-être son Dangerous Minds, grâce à Michelle
Pfeiffer et Coolio) et c’est très
peu étonnant quand on voit qu’il n’a absolument aucune idée valable de mise en
scène et aucun sens du rythme. Car par malheur, on s’ennuie profondément devant
A Cool, Dry Place. Mais il n’y a pas
que John N. Smith qui est fautif dans
cette histoire. Le scénario de Matthew
McDuffie est inintéressant au possible quand il quitte les rapports
père-fils. Il n’y a guère que l’idée de génie de poser Vince Vaughn en coach de basket qui vaille le coup. C’est très peu.
A
Cool, Dry Place a le cœur au bon endroit et sait parfois s’en servir.
Malheureusement, il faut un peu plus que ça pour faire un bon film et John N. Smith ne l’a probablement pas
compris. Très dommage.
Ma
Note : 8/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : JERSEY GIRL de Kevin SMITH, probablement son
film le plus touchant, variation réussie de ce thème.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire