dimanche 1 juillet 2012

CONFESSION D'UN HOMME DANGEREUX (CONFESSIONS OF A DANGEROUS MIND) de George CLOONEY


CONFESSION D’UN HOMME DANGEREUX
CONFESSIONS OF A DANGEROUS MIND
Some things are better left top secret
Certaines choses devraient rester secretes


Fiche Technique

REALISE PAR : George Clooney
ECRIT PAR : Charlie Kaufman
MUSIQUE DE : Alex Wurman
PRODUIT PAR : Andrew Lazar
PRODUCTION : Miramax – Mad Chance – Section Eight – Mel’s – JVS & Co
DISTRIBUE PAR : Miramax aux USA – TFM en France
ORIGINE : USA / Allemagne / Canada
DUREE : 1h53min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 24 Janvier 2003 aux USA – 11 Juin 2003 en France
BUDGET : 29 Millions de Dollars
REVENUS : 31 Millions de Dollars (2 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE TOURNAGE : USA, Mexique & Canada
GENRE : Thriller
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Non

SAM ROCKWELL : Chuck Barris
DREW BARRYMORE : Penny Pacino
GEORGE CLOONEY : Jim Byrd
JULIA ROBERTS : Patricia Watson
RUTGER HAUER : Keeler
ROBERT JOHN BURKE : Instructor Jenks
KRISTEN WILSON : Loretta
MAGGIE GYLLENHAAL : Debbie
JERRY WEINTRAUB : Larry Goldberg
MICHAEL ENSIGN : Simon Oliver

Synopsis

            Chuck Barris (SAM ROCKWELL) déclara à la fin de sa vie qu’il était, en plus d’être un présentateur-producteur de TV de talent, un agent de la CIA qui aurait assassiné plus de 30 personnes pour les USA. Ment-il ? Dit-il la vérité ?

Critique

            Grand copain des frères Coen et de Steven Soderbergh avec qui il ouvrit une boîte de production, George Clooney se retrouva derrière une caméra, comme prévu, pour Confessions d’un Homme Dangereux, faux biopic de Chuck Barris.
            Une histoire de mythomanie se devait d’être proche de son personnage principal et jusque là, le script de Charlie Kaufman et la mise en scène de George Clooney assurent, tant ils sont proches de Barris joué par un excellent Sam Rockwell. Le vrai problème, c’est que le film ne se concentre que sur lui et occulte les personnages secondaires, pourtant bien interprétés (on parlera surtout de Julia Roberts et Robert John Burke), ce qui provoque très vite un petit ennui chez le spectateur qui voit un homme se mentir à lui-même plus qu’autre chose. Les partis pris de mise en scène de Clooney sont très fortuits, avec ces surexpositions de la lumière pour coller à l’époque. Ca se regarde donc pas mal filmer, mais sans véritable déplaisir pour le spectateur, tant Rockwell abat un travail formidable.
            On ne peut donc qu’être déçu, donc, du manque de personnage, du manque cruel d’intérêt du personnage et de la lenteur du script, qui perd souvent son spectateur dans la temporalité de son récit pourtant pas si déstructuré.
Ma Note : 13/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : DANS LA PEAU DE JOHN MALKOVICH de Spike JONZE, autre scénario de Charlie Kaufman.

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