LES
DIAMANTS SONT ETERNELS
DIAMONDS
ARE FOREVER
Bond is back… With the girls
Fiche Technique
REALISE
PAR : Guy Hamilton
ECRIT
PAR : Richard Maibaum & Tom Mankiewicz
MUSIQUE
DE : John Barry
PRODUIT
PAR : Albert R. Broccoli & Harry Saltzman
PRODUCTION
: Eon – Danjaq
DISTRIBUE
PAR : United Artists au Royaume-Uni et en France
ORIGINE
: Royaume-Uni
DUREE : 2h00min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
30 Décembre 1971 au Royaume-Uni – 20 Décembre 1971 en France
BUDGET :
7 Millions de Dollars
REVENUS
: 116 Millions de Dollars (109 Millions de Dollars)
LIEUX DE
TOURNAGE : Pays-Bas, France, Angleterre, USA & Allemagne
GENRE : Espionnage
DISPONIBILITE
: DVD Zone 2
SUITES :
7e épisode de la saga James Bond
SEAN CONNERY : James Bond 007
JILL ST. JOHN : Tiffany Case
CHARLES GRAY : Ernst Stavro Blofeld
BRUCE GLOVER : Mr. Wint
PUTTER SMITH : Mr. Kidd
JIMMY DEAN : Willard Whyte
LANA WOOD : Plenty O’Toole
NORMAN BURTON : Felix Leiter
BERNARD LEE : M
DESMOND LLEWELLYN : Q
Synopsis
Alors qu’il poursuit Blofeld
(CHARLES GRAY) pour la mort de sa femme, James Bond (SEAN CONNERY) est envoyé
sur la piste de diamants volés. Se pourrait-il que Blofeld soit mêlé à cette
affaire ?
Critique
Après un petit interlude réjouissant de surréalisme où James Bond était interprété par le
musclé mais benêt George Lazenby, Sean Connery reprend ses droits et
retrouve Guy Hamilton, le réalisateur
de Goldfinger.
Le retour d’une telle équipe de choc ne pouvait qu’être
bénéfique pour une saga qui commençait tout doucement à se répéter. Et
pourtant, à première vue, ce Diamonds
are Forever n’est pas très folichon. En effet, avec une bête histoire de
contrebande de diamants, un méchant pas très charismatique et une James Bond
Girl pas géniale, la première heure ne satisfait pas vraiment, si ce n’est la
chanson de Shirley Bassey,
évidemment. Heureusement, comme d’habitude chez 007, le film se décante dans
sa deuxième partie, avec une deuxième James Bond Girl très fugace et adorable, Lana Wood, un humour ravageur, des
scènes d’action un peu moins dantesque que celles des précédents films mais
toujours aussi étonnante, des personnages caricaturaux mais très drôles et un
arch-némésis toujours aussi présent. Les apparitions de Bernard Lee & Desmond Llewellyn sont évidemment réussies comme
à l’accoutumée.
Les Diamants sont eternels et Sean Connery aussi,
tant ce film est une réussite inattendue au vu de son synopsis.
Ma
Note : 16/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : RIEN QUE POUR VOS YEUX de John GLEN, dans le
même genre, un Bond décomplexé et bourrin.
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