samedi 21 juillet 2012

LES DIAMANTS SONT ETERNELS (DIAMONDS ARE FOREVER) de Guy HAMILTON


LES DIAMANTS SONT ETERNELS
DIAMONDS ARE FOREVER
Bond is back… With the girls


Fiche Technique

REALISE PAR : Guy Hamilton
ECRIT PAR : Richard Maibaum & Tom Mankiewicz
MUSIQUE DE : John Barry
PRODUIT PAR : Albert R. Broccoli & Harry Saltzman
PRODUCTION : Eon – Danjaq
DISTRIBUE PAR : United Artists au Royaume-Uni et en France
ORIGINE : Royaume-Uni
DUREE : 2h00min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 30 Décembre 1971 au Royaume-Uni – 20 Décembre 1971 en France
BUDGET : 7 Millions de Dollars
REVENUS : 116 Millions de Dollars (109 Millions de Dollars)
LIEUX DE TOURNAGE : Pays-Bas, France, Angleterre, USA & Allemagne
GENRE : Espionnage
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : 7e épisode de la saga James Bond

SEAN CONNERY : James Bond 007
JILL ST. JOHN : Tiffany Case
CHARLES GRAY : Ernst Stavro Blofeld
BRUCE GLOVER : Mr. Wint
PUTTER SMITH : Mr. Kidd
JIMMY DEAN : Willard Whyte
LANA WOOD : Plenty O’Toole
NORMAN BURTON : Felix Leiter
BERNARD LEE : M
DESMOND LLEWELLYN : Q

Synopsis

            Alors qu’il poursuit Blofeld (CHARLES GRAY) pour la mort de sa femme, James Bond (SEAN CONNERY) est envoyé sur la piste de diamants volés. Se pourrait-il que Blofeld soit mêlé à cette affaire ?

Critique

Après un petit interlude réjouissant de surréalisme où James Bond était interprété par le musclé mais benêt George Lazenby, Sean Connery reprend ses droits et retrouve Guy Hamilton, le réalisateur de Goldfinger.
Le retour d’une telle équipe de choc ne pouvait qu’être bénéfique pour une saga qui commençait tout doucement à se répéter. Et pourtant, à première vue, ce Diamonds are Forever n’est pas très folichon. En effet, avec une bête histoire de contrebande de diamants, un méchant pas très charismatique et une James Bond Girl pas géniale, la première heure ne satisfait pas vraiment, si ce n’est la chanson de Shirley Bassey, évidemment. Heureusement, comme d’habitude chez 007,  le film se décante dans sa deuxième partie, avec une deuxième James Bond Girl très fugace et adorable, Lana Wood, un humour ravageur, des scènes d’action un peu moins dantesque que celles des précédents films mais toujours aussi étonnante, des personnages caricaturaux mais très drôles et un arch-némésis toujours aussi présent. Les apparitions de Bernard Lee & Desmond Llewellyn sont évidemment réussies comme à l’accoutumée.
Les Diamants sont eternels et Sean Connery aussi, tant ce film est une réussite inattendue au vu de son synopsis.
Ma Note : 16/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : RIEN QUE POUR VOS YEUX de John GLEN, dans le même genre, un Bond décomplexé et bourrin.

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