DESPERADO
2 -IL ETAIT UNE FOIS AU MEXIQUE
ONCE UPON A TIME IN MEXICO
The Time Has Come
Fiche Technique
REALISE
PAR : Robert Rodriguez
ECRIT
PAR : Robert Rodriguez
MUSIQUE
DE : Robert Rodriguez
PRODUIT
PAR : Elizabeth Avellan, Carlos Gallardo & Robert Rodriguez
PRODUCTION
: Columbia – Dimension – Troublemaker
DISTRIBUE
PAR : Columbia aux USA – Buena Vista en France
ORIGINE
: USA
DUREE :
1h42min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
12 Septembre 2003 aux USA – 22 Octobre 2003 en France
BUDGET :
29 Millions de Dollars
REVENUS
: 98 Millions de Dollars (69 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Mexique
GENRE : Thriller
DISPONIBILITE
: Blu-Ray Zone 2
SUITES :
Fin de la trilogie du Mariachi
ANTONIO BANDERAS : El Mariachi
JOHNNY DEPP : CIA Agent Sheldon Jeffrey
Sands
WILLEM DAFOE : Armando Barillo
MICKEY ROURKE : Billy Chambers
EVA MENDES : Ajedrez
RUBEN BLADES : FBI Special Agent Jorge
Ramirez
DANNY TREJO : Cucuy
CHEECH
MARIN : Bellini
ENRIQUE IGLESIAS : Lorenzo
MARCO LOMBARDI : Fideo
Synopsis
El Mariachi (ANTONIO BANDERAS) a perdu sa bien-aimée Carolina
(SALMA HAYEK), tuée par le général Marquez (GERARDO VIGIL). Alors qu’il cherche
à se venger, il tombe sur l’agent Sands (JOHNNY DEPP), un sociopathe qui
cherche à faire tomber Barillo (WILLEM DAFOE), un chef de cartel.
Critique
Après un film énergique mais fauché
et un film excité et beaucoup moins sympathique, Robert Rodriguez réalisa la dernière partie de sa saga, Once Upon a Time in Mexico, traduit par
un magnifiquement nul Desperado 2
ici.
Après un casting d’acteurs amateurs
et un casting d’amis, ici c’est un casting de stars qui passe devant la caméra
d’un Robert Rodriguez qui se donne
les moyens de ses ambitions, aussi présomptueuses qu’elles sont. En effet,
selon lui, c’est tout à fait normal que le scénario catastrophiquement
compliqué soit tel qu’il est au final. Sauf que le spectateur, autre que Rodriguez qui se regarde totalement
filmer, est très vite perdu avec les multiples rebondissements et alliances.
Heureusement, certains acteurs sont géniaux, le duo Johnny Depp – Ruben Blades en tête, ce qui permet au spectateur de
s’accrocher un peu. On retrouve d’ailleurs ici le syndrome Clouseau : le héros du film ralentit considérablement les
choses et est plus gênant qu’important pour le film. C’est dommage car on
trouve énormément de trouvailles géniales comme le travail sur le corps de Johnny Depp qui gagne un bras mais qui y
perd les yeux ou la chirurgie esthétique de Willem
Dafoe (qui, soit-il dit en passant, ne sert à rien).
Desperado
2 est donc une conclusion ultra brouillonne d’une trilogie non moins
foutraque. Pourtant, contrairement à son prédécesseur, les bons acteurs
tiennent plus d’une heure et on ne s’ennuie vraiment jamais. Sympathique,
certes, mais clairement très moyen.
Ma
Note : 13.5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : SHOOT’EM UP de Michael DAVIS, un film qui assume
jusqu’au bout son côté débile bourrin SANS prétention.
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