L’AFFAIRE VAN HAKEN
THE FOREIGNER
If they think they can stop him, they’re
dead wrong
Ils croyaient pouvoir l’arrêter
Fiche Technique
REALISE
PAR : Michael Oblowitz
ECRIT
PAR : Darren O. Campbell
MUSIQUE
DE : David & Eric Wurtz
PRODUIT
PAR : Kamal Aboukhater, Elie Samaha, Steven Seagal & Andrew Stevens
PRODUCTION
: Franchise – Foreigner
DISTRIBUE
PAR : TriStar aux USA
ORIGINE
: USA / Pologne
DUREE :
1h36min
PUBLIC :
Interdit aux Moins de 12 ans
SORTIE :
Direct-to-DVD en 2003 aux USA et en France
BUDGET :
17 Millions de Dollars
REVENUS
: Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Allemagne & Pologne
GENRE :
Thriller
DISPONIBILITE
: DVD Zone 2
SUITES :
Black Dawn sorti en 2005
STEVEN SEAGAL : Jonathan Cold
MAX RYAN : Dunoir
SHERMAN AUGUSTUS : Mr. Mimms
DEOBIA OPAREI : The Stranger
JEFFREY PIERCE : Sean Cold
ANNA-LOUISE PLOWMAN : Meredith Van
Haken
HARRY VAN GORKUM : Jerome Van Haken
GARY RAYMOND : Jared Olyphant
PHILIP DUNBAR : Alexander Marquee
IZABELA OKRASA : Clarissa Van Haken
Synopsis
Jonathan Cold (STEVEN SEAGAL), mercenaire, est engage pour
apporter un paquet à un certain Jerome Van Haken (HARRY VAN GORKUM). Sauf qu’il
se trouve que tout le monde veut ce paquet.
Critique
Un temps génial, Steven Seagal a vu sa cote de popularité
baisser en masse de 1991 à 2001, avec le bien débile (mais réjouissant) Mission : Alcatraz. Ses films ne
sortirent plus qu’en DTV.
The
Foreigner est le premier (le deuxième, à vrai dire, mais The Patriot est bien plus vieux) d’une
longue liste de DTV qui ne fut stoppé que par Machete en 2011. Force est de constater que le terriblement nul Foreigner ne mérite pas mieux. Sombre
histoire de machination, trahison de mercenaire, le film est une catastrophe
industrielle, tant sur le point du scénario, indigent et jamais amusant que sur
le jeu d’acteur, sans génie, malgré un Seagal
qui essaie de donner vie à des one-liners lamentables et qui ne donne ses légendaires
manchettes qu’une fois dans le film, après une (longue) heure de métrage. Ce
serait pourtant discréditer le travail de sape du réalisateur, qui fait tout
pour manquer son film et ce, avec un stakhanovisme étonnant : enchaîner
autant de plans dégueulasses, avoir un rythme aussi anémique et recycler deux
fois sa seule idée (minable) de mise en scène (une espèce d’enchaînement de
plans cut de plus en plus rapprochés sur la figure de personnages qui se
tiennent en mexican standoff), Michael
Oblowitz est déterminé pour rendre son film irregardable.
L’Affaire
Van Haken est donc évidemment un navet comme Seagal n’avait pas encore fait, une catastrophe industrielle, comme
dit auparavant. Nul.
Ma
Note : 3/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : JUSTICE SAUVAGE de John FLYNN, voilà comment on
fait un vrai Seagal sauvage.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire