mardi 24 juillet 2012

L'AFFAIRE VAN HAKEN (THE FOREIGNER) de Michael OBLOWITZ


L’AFFAIRE VAN HAKEN
THE FOREIGNER
If they think they can stop him, they’re dead wrong
Ils croyaient pouvoir l’arrêter


Fiche Technique

REALISE PAR : Michael Oblowitz
ECRIT PAR : Darren O. Campbell
MUSIQUE DE : David & Eric Wurtz
PRODUIT PAR : Kamal Aboukhater, Elie Samaha, Steven Seagal & Andrew Stevens
PRODUCTION : Franchise – Foreigner
DISTRIBUE PAR : TriStar aux USA
ORIGINE : USA / Pologne
DUREE : 1h36min
PUBLIC : Interdit aux Moins de 12 ans
SORTIE : Direct-to-DVD en 2003 aux USA et en France
BUDGET : 17 Millions de Dollars
REVENUS : Pas d’Infos
LIEUX DE TOURNAGE : Allemagne & Pologne
GENRE : Thriller
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Black Dawn sorti en 2005

STEVEN SEAGAL : Jonathan Cold
MAX RYAN : Dunoir
SHERMAN AUGUSTUS : Mr. Mimms
DEOBIA OPAREI : The Stranger
JEFFREY PIERCE : Sean Cold
ANNA-LOUISE PLOWMAN : Meredith Van Haken
HARRY VAN GORKUM : Jerome Van Haken
GARY RAYMOND : Jared Olyphant
PHILIP DUNBAR : Alexander Marquee
IZABELA OKRASA : Clarissa Van Haken

Synopsis

            Jonathan Cold (STEVEN SEAGAL), mercenaire, est engage pour apporter un paquet à un certain Jerome Van Haken (HARRY VAN GORKUM). Sauf qu’il se trouve que tout le monde veut ce paquet.

Critique

            Un temps génial, Steven Seagal a vu sa cote de popularité baisser en masse de 1991 à 2001, avec le bien débile (mais réjouissant) Mission : Alcatraz. Ses films ne sortirent plus qu’en DTV.
            The Foreigner est le premier (le deuxième, à vrai dire, mais The Patriot est bien plus vieux) d’une longue liste de DTV qui ne fut stoppé que par Machete en 2011. Force est de constater que le terriblement nul Foreigner ne mérite pas mieux. Sombre histoire de machination, trahison de mercenaire, le film est une catastrophe industrielle, tant sur le point du scénario, indigent et jamais amusant que sur le jeu d’acteur, sans génie, malgré un Seagal qui essaie de donner vie à des one-liners lamentables et qui ne donne ses légendaires manchettes qu’une fois dans le film, après une (longue) heure de métrage. Ce serait pourtant discréditer le travail de sape du réalisateur, qui fait tout pour manquer son film et ce, avec un stakhanovisme étonnant : enchaîner autant de plans dégueulasses, avoir un rythme aussi anémique et recycler deux fois sa seule idée (minable) de mise en scène (une espèce d’enchaînement de plans cut de plus en plus rapprochés sur la figure de personnages qui se tiennent en mexican standoff), Michael Oblowitz est déterminé pour rendre son film irregardable.
            L’Affaire Van Haken est donc évidemment un navet comme Seagal n’avait pas encore fait, une catastrophe industrielle, comme dit auparavant. Nul.
Ma Note : 3/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : JUSTICE SAUVAGE de John FLYNN, voilà comment on fait un vrai Seagal sauvage.

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