lundi 14 janvier 2013

DIVINE MAIS DANGEREUSE (ONE NIGHT AT MCCOOL'S) d'Harald ZWART


DIVINE MAIS DANGEREUSE
ONE NIGHT AT MCCOOL’S
She’s three men over the legal limit.
Une comédie criminelle ultra-sexy


Fiche Technique

REALISE PAR : Harald Zwart
ECRIT PAR : Stan Seidel
MUSIQUE DE : Marc Shaiman
PRODUIT PAR : Michael Douglas & Allison Lyon Segan
PRODUCTION : October - Further
DISTRIBUE PAR : USA Films aux USA – EuropaCorp en France
ORIGINE : USA
DUREE : 1h33min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 27 Avril 2001 aux USA – 5 Septembre 2001 en France
BUDGET : 18 Millions de Dollars
REVENUS : 14 Millions de Dollars (4 Millions de Pertes)
LIEUX DE TOURNAGE : Californie aux USA
GENRE : Comédie Noire
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Non

MATT DILLON : Randy
PAUL REISER : Carl
JOHN GOODMAN : Detective Dehling
MICHAEL DOUGLAS : Mr. Burmeister
LIV TYLER : Jewel
ANDREW DICE CLAY : Elmo / Utah
RICHARD JENKINS : Father Jimmy
REBA MCINTIRE : Dr. Green
LEO ROSSI : Joey Dinardo
KELLY SLATER : Jeep Driver

Synopsis

            Randy (MATT DILLON), Carl (PAUL REISER) et le detective Dehling (JOHN GOODMAN) sont tous les trois sous le charme de la même femme, Jewel (LIV TYLER), femme fatale entichée d’un gangster, Elmo (ANDREW DICE CLAY). Quand les choses se compliquent, chacun va raconter sa version de l’histoire à un confident.

Critique

            Au début des années 2000, la mode à Hollywood était celle des comédies noires, bêtes et très méchantes. Malheureusement, force est de constater que ce n’était pas leur fort.
            Après l’essai de Nora Ephron, Lucky Numbers, c’était à Harald Zwart d’essayer à son tour. Cela donna le film choral Divine mais Dangereuse, qui partait d’une très bonne idée : une sombre histoire de chantage féminin à la sauce Rashômon. Evidemment, dans les faits, c’est plutôt loupé. Les personnages sont tous très bizarres, sans pour autant être vraiment passionnants. Paul Reiser, Liv Tyler, Andrew Dice Clay et même Michael Douglas sont bien plus repoussants qu’intéressants et seul Matt Dillon (et dans une moindre mesure, le toujours excellent John Goodman) parvient à tirer son épingle du jeu. A amasser les personnages étranges, on ne réalise pas un film. Il faut pour cela un scénario construit, ce que n’a pas Divine mais Dangereuse et une réalisation correcte et non pas apathique comme celle d’Harald Zwart, qu’on verra plus inspiré plus tard (pour Karate Kid par exemple). Le film finit par utiliser la méchanceté à tort et à travers et le spectateur finit par lâcher prise, à juste titre.
            Divine mais Dangereuse est un bien mauvais film, que seul John Goodman, Richard Jenkins et évidemment Matt Dillon rendent regardable. Il n’empêche qu’on ne le conseillera à personne.
Ma Note : 6.5/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : LE BON NUMERO de Nora EPHRON, dans la même mouvance.

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