THE
GRANDMASTER
YI DAI
ZONG SHI
In Martial Arts, there is no right and wrong.
Only the last man standing.
Fiche Technique
REALISE
PAR : Wong Kar Wai
ECRIT
PAR : Wong Kar Wai, Xu Haofeng & Zou Jingzhi
MUSIQUE
DE : Nathaniel Méchaly & Shigeru Umebayashi
PRODUIT
PAR : Gu Guoping, Han Sanping, Li Kuo Hsing, Ren Zhong-Lun, Jacky Pang Lee
Wah, Wong Kar Wai, Xu Haofeng & Yu Dong
PRODUCTION :
Annapurna – Block 2 – Bona – Jet Tone – Sil-Metropole
DISTRIBUE
PAR : Lark à Hong Kong – Wild Bunch en France
ORIGINE :
Hong Kong / Chine / France
DUREE :
2h10min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
10 Janvier 2013 à Hong Kong – 17 Avril 2013 en France
BUDGET :
240 Millions de Yuans
REVENUS :
312 Millions de Yuans (72 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Guangdong & Lianing en Chine
GENRE :
Biopic
DISPONIBILITE :
Dans Vos Cinémas
SUITES :
Non
TONY
LEUNG CHIU-WAI : Yip Man
ZHANG
ZIYI : Gong Er
SONG
HYE-KYO : Cheung Wing-Sing
CHANG
CHEN : The Razor Yixiantian
ZHAO
BENSHAN : Ding Lianshan
YUEN
WOO-PING : Chan Wah-Shun
ZHANG
JIN : Ma San
LO
HOI-PANG : Uncle Deng
CUNG
LE : Tiexieqi
SHANG
TIELONG : Jiang
Synopsis
De Foshan en 1930 à Hong Kong en
1952, la vie de Yip Man (TONY LEUNG CHIU-WAI), le grand maître du wing-chun et
ses rencontres avec Gong Er (ZHANG ZIYI)…
Critique
Après les deux opus de Wilson Yip avec Donnie Yen dans le rôle-titre, c’était au tour de Wong Kar Wai de s’attaquer à la légende
d’Yip Man avec ce Grandmaster très attendu, passé par
Berlin.
Il est évident, dès la première
bobine (ce qui est faux, vu qu’on est sur des DCP aujourd’hui), qu’on est en
face d’un film profondément marqué par son réalisateur, Wong Kar Wai, avec ses gimmicks de réalisation, qui peuvent très
vite être pénibles pour qui n’accroche pas aux images ralenties et aux plans fixes
plein de sens. Le choix du réalisateur peut en dérouter quelques-uns : en
effet, il se concentre bien plus sur les dialogues et les intérêts des
différents personnages et manque un peu de combats d’arts martiaux, surtout
quand il ouvre son film sur un duel diluvien entre Tony Leung – Cung Le. Pour les amateurs de wing chun, passez votre
chemin. En revanche, le film est exceptionnellement beau visuellement (si l’on
excepte ce train en CGI très disgracieux) et sa musique est très réussie.
Certains passages sont à tomber, comme le final sous la neige ou la scène
d’introduction, donc. Il est vraiment dommage que Wong Kar Wai ait décidé de garder ses grosses scènes de combat pour
un montage final de 90 secondes ultra-pêchu.
The
Grandmaster est un film profondément chinois et profondément Wong Kar Waien dans la mesure où les
Japonais passent pour des tortionnaires sans aucune limite, où le rythme du
film est très lent et où on offre des leçons de sagesse à chaque scène.
Cependant, c’est, pour les fans du genre, un bon film. Rien ne plus.
Ma
Note : 14.5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : 2046 de Wong KAR-WAI, autre film de l’auteur,
reconnaissable entre cent.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire