L’AFFAIRE
CIA
SHADOW
MAN
Either you're with him...
Or you're dead.
Fiche Technique
REALISE
PAR : Michael Keusch
ECRIT
PAR : Steven Collins, Steven Seagal & Joe Halpin
MUSIQUE
DE : Barry Taylor
PRODUIT
PAR : Steven Seagal, Pierre Spengler & Andrew Stevens
PRODUCTION :
Sony – Castel – Clubdeal – Steamroller
DISTRIBUE
PAR : Sony aux USA
ORIGINE :
USA / Royaume-Uni / Roumanie
DUREE :
1h31min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
DTV 2006 aux USA
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Roumanie
GENRE :
Thriller
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
STEVEN
SEAGAL : Jack Foster
EVA
POPE : Anya
VINCENT
RIOTTA : Harry
SKYE
BENNETT : Amanda Foster
GARRICK
HAGON : Waters
ALEX
FERNS : Schmitt
ZOLTAN
BURUC : Seaka
MICHAEL
FITZPATRICK : Chambers
MICHAEL
ELWYN : George
IMELDA
STAUNTON : Ambassador Cochran
Synopsis
Jack Foster (STEVEN SEAGAL), un
homme au passé d’agent de la CIA, part en voyage avec sa fille Amanda (SKYE
BENNETT) en Roumanie, afin de retrouver George (MICHAEL ELWYN), le père de sa
défunte femme. Mais celui-ci est victime d’un attentat et Jack enlevé. Il
décide alors de partir à la recherche des kidnappeurs et découvre une
conspiration.
Critique
Il est évident que tous les DTV de Steven Seagal ne sont pas bons. On pourrait
même dire qu’ils sont quasiment tous mauvais. En revanche, il y a constamment
une petite surprise.
Pour Shadow Man, réalisé par Michael
Keusch, réalisateur allemand qui travaillera deux fois de plus avec Seagal juste après, la surprise est
vraiment de taille. Dans ce thriller tout ce qu’il y a de plus commun et de
soporifique, on retrouve une Imelda
Staunton dans un rôle post-Vera
Drake et assez important qui plus est. Hormis cela, Shadow Man possède absolument tous les défauts des DTV de notre
aikidoka préféré : les personnages sont absurdement unidimensionnels et
quasiment tous idiots, le scénario est extrêmement compliqué (sérieusement,
l’intrigue est incompréhensible et utilise une tonne de rebondissements
inutiles), presque autant qu’il est débile, la réalisation confine à de
l’amateurisme dès qu’on s’approche des scènes d’action, ce qui est dommage dans
un film avec Steven Seagal vous en
conviendrez, tout comme les performances des acteurs, entre désintéressés comme
Steven Seagal (qui écrit tout de même
le scénario) et juste nuls (comme le reste).
Le problème de Shadow Man,
au-delà de sa nullité criante, c’est qu’il restera à jamais comme ”le Seagal movie avec Imelda Staunton”, rien de plus. Et il ne mérite rien de plus.
Ma Note :
4/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : URBAN JUSTICE de Don E. FAUNTLEROY, dans le même
genre, mais avec plus de second degré.
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