LOCAL
COLOR
LOCAL
COLOR
One Master. One Student.
One Summer To Dream.
Fiche Technique
REALISE
PAR : George Gallo
ECRIT
PAR : George Gallo
MUSIQUE
DE : Chris Boardman
PRODUIT
PAR : Jimmy Evangelatos, George Gallo, Julie Lott & Mark Sennet
PRODUCTION :
Alla Prima – Brushwork – Permut
DISTRIBUE
PAR : Monterey aux USA
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h47min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
19 Septembre 2008 aux USA
BUDGET :
4 Millions de Dollars
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Louisiane & New York
GENRE :
Coming-of-Age
DISPONIBILITE :
DVD Zone 1
SUITES :
Non
TREVOR
MORGAN : John Talia Jr.
ARMIN
MUELLER-STAHL : Nikolai Serov
RON
PERLMAN : Curtis Sunday
SAMANTHA
MATHIS : Carla
RAY
LIOTTA : John Talia Sr.
CHARLES
DURNING : Yammi
DIANA
SCARWID : Edith Talia
DAVID
SHEFTELL : Mikey
NANCY
CASEMORE : Mrs. Huntington-Quail
JULIE
LOTT : Sandra Sunday
Synopsis
John Talia Jr. (TREVOR MORGAN) est
passionné par la peinture, ce qui rend son père (RAY LIOTTA) perplexe. Il
accepte cependant que John Junior aille passer l’été chez Nikolai Serov (ARMIN
MUELLER-STAHL) afin de perfectionner son art. John Junior découvre alors un
homme que la vie a fortement blessé mais qui décide de lui apprendre ce qu’il
sait…
Critique
En 2008, George Gallo vient d’enchaîner deux projets avec Eddie Griffin, le deuxième ayant été
très mal reçu par la critique. Il faut donc revenir aux sources pour le
réalisateur-peintre. Justement, Local
Color parle de peinture.
En effet, le troisième film réalisé
par George Gallo est un coming-of-age
movie avec Trevor Morgan qui raconte
donc l’histoire d’un jeune amateur de peinture qui se retrouve invité chez un
vieux peintre à passer l’été pour parfaire son art. Heureusement pour George Gallo, le vieux peintre est joué
par le très charismatique Armin
Mueller-Stahl, qui joue parfaitement bien un rôle qu’on a pourtant vu plein
de fois au cinéma. En face, Trevor Morgan
est tout aussi bon et ne se laisse pas décontenancer par le monstre qu’il a en
face. Dans les autres acteurs, on a aussi l’excellent Ron Perlman, hilarant dans le comic relief du film et Ray Liotta dans un rôle de macho comme
il les aime. Local Color est aussi
drôle qu’émouvant et se trouve être parfaitement rythmé pour ne pas perdre ceux
qui n’aiment pas forcément la peinture. Clairement, le film de George Gallo essaie d’être universel à
travers une autobiographie et ceci est très réussi.
Local
Color ne changera pas l’histoire du cinéma, c’est évident. En revanche, le
film est très réussi dans son genre et mérite un peu plus de reconnaissance que
l’oubli impoli qu’il a subi.
Ma
Note : 15/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : LA TÊTE EN FRICHE de Jean BECKER, un équivalent
français quinquagénaire.
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