PROJET
LAZARUS
THE
LAZARUS PROJECT
Some realities have no escape
Cheating death is only the beginning.
Fiche Technique
REALISE
PAR : John Glenn
ECRIT
PAR : John Glenn & Evan Astrowsky
MUSIQUE
DE : Brian Tyler
PRODUIT
PAR : Dave Hoberman, Todd Lieberman, Matt Milich & Travis Wright
PRODUCTION :
Mandeville – Inferno – Be Good – Scion – Manitoba
DISTRIBUE
PAR : Sony aux USA
ORIGINE :
USA / Canada / Royaume-Uni
DUREE :
1h40min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
Direct-To-DVD 2008 aux USA
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Manitoba au Canada
GENRE :
Thriller
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
PAUL
WALKER : Ben Garvey
LINDA
CARDELLINI : Julie Ingram
MALCOLM
GOODWIN : Robbie
TONY
CURRAN : William Reeds
BOB
GUNTON : Father Ezra
SHAWN
HATOSY : Ricky Garvey
LAMBERT
WILSON : Avery
PIPER
PERABO : Lisa Garvey
BROOKLYNN
PROULX : Katie Garvey
ALEX
SOL : Phelps
Synopsis
Ben Garvey (PAUL WALKER) est un
braqueur qui se retrouve embringué dans une salle histoire où son frère (SHAWN
HATOSY) se fait descendre pendant une opération. Alors qu’il est condamné à
mort, il se réveille quelque temps après dans un asile de fous de l’Oregon où il
officie en tant que gardien. Il décide d’enquêter.
Critique
Avant le retour de la saga Fast & Furious, en 2009, avec un
quatrième opus qui allait tout changer, Paul
Walker trouvait des rôles dans de petits thrillers sans prétentions.
The
Lazarus Project fait partie de ces petits thrillers qui ne sortent pas au
cinéma, à l’image de Kill Bobby Z.
Or, le film du newcomer John Glenn
est une bonne surprise à l’instar de celui de John Herzfeld. The Lazarus
Project démarre comme un thriller surnaturel avant de doucement délier ses
nœuds au fur et à mesure que le film avance. L’intrigue est certes tarabiscotée
mais elle se trouve être rondement menée grâce à une bonne mise en scène, qui
est inquiétante comme il faut lors des scènes dans l’asile de fous sans en
faire trop et qui n’appuie pas trop non plus les visions d’horreur du
personnage de Paul Walker, qui n’est
jamais aussi bon que lorsqu’il joue des personnages torturés. Il est entouré
par un remarquable supporting cast qui comportent des acteurs comme Shawn Hatosy, Bob Gunton ou encore Malcolm Goodwin pour les plus
performants. On pourrait alors regretter un dénouement un peu décevant mais qui
ne tombe pas dans le grand-guignolesque, alors qu’on aurait pu le craindre.
The
Lazarus Project n’est clairement pas un grand film, mais il aurait pu
mériter une sortie cinéma et n’est pas une mauvaise manière de passer une heure
et demie devant la télévision.
Ma
Note : 14/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : LA PEUR AU VENTRE de Wayne KRAMER un autre film
où Paul Walker change un peu de registre.
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