L’ANGLAIS
THE
LIMEY
Tell Them I’m Coming
Vengeance Knows No Boundary
Fiche Technique
REALISE
PAR : Steven Soderbergh
ECRIT
PAR : Lem Dobbs
MUSIQUE
DE : Cliff Martinez
PRODUIT
PAR : John Hardy & Scott Kramer
PRODUCTION :
Artisan
DISTRIBUE
PAR : Artisan aux USA – Bac en France
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h29min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
8 Octobre 1999 aux USA – 4 Août 1999 en France
BUDGET :
9 Millions de Dollars
REVENUS :
3 Millions de Dollars (6 Millions de Pertes)
LIEUX DE
TOURNAGE : Big Sur & Los Angeles,CA aux USA
GENRE :
Néo-noir
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
TERENCE
STAMP : Wilson
LUIS
GUZMAN : Edoardo Roel
PETER
FONDA : Terry Valentine
BARRY
NEWMAN : Jim Avery
EMILY
ANN WARREN : Elaine
NICKY
KATT : Stacy
JOE
DALLESANDRO : Uncle John
BILL
DUKE : DEA Commanding Officer
MELISSA
GEORGE : Jenny Wilson
AMELIA
HEINLE : Adhara
Synopsis
Wilson (TERENCE STAMP), un Anglais,
se rend aux Etats-Unis pour venger la mort de sa fille, Jenny (MELISSA GEORGE).
Il ne sait pas qui l’a tuée, il ne sait pas pourquoi. Aidé par deux bon amis
(LUIS GUZMAN & EMILY ANN WARREN) de Jenny et de sa persévérance légendaire,
Wilson se met sur la piste de Terry Valentine (PETER FONDA), un agent de
l’industrie musicale.
Critique
En 1999, Steven Soderbergh est à un pic de son art, avec deux immenses films
de suite, Schizopolis et Out of Sight, qui n’avaient presque
rien en commun, si ce n’est la qualité. Soderbergh
enchaîna donc avec L’Anglais, un
néo-Noir.
Steven
Soderbergh avait déjà travaillé le matériel en 1995 avec un sympathique A Fleur de Peau, pas parfait et
franchement un de ses moins bons films. L’Anglais
est une sorte de nouvelle tentative de faire un néo-Noir. Force est de
constater que Steven Soderbergh ne
s’est pas fourvoyé et a, encore une fois, réussi un film admirable en apportant
quelque chose de nouveau au matériel. Son film est monté d’une manière unique,
avec une structure très particulière qui propose un joli rebondissement final
et des extraits d’un film de Ken Loach
comme flashbacks de la vie du héros (quelle idée merveilleuse…), là où le film
semble être plutôt simple. La première demi-heure est absolument
exceptionnelle, avec un scénario qui ne prend pas son temps pour exposer des
personnages et qui jette son spectateur directement dans le bain. Il est alors
dommage qu’il tourne un peu en rond dans l’heure qui suit, mais on pourrait
observer Terence Stamp faire son show
pendant de longues minutes, dans une scène absolument parfaite avec Bill Duke. Les acteurs sont par ailleurs
particulièrement excellents, surtout Terence
Stamp (sur qui le film repose totalement), Luis Guzman et Barry Newman,
parfait en bras droit du bad guy.
Avec un score au diapason, L’Anglais est un nouvel incontournable
du génial Steven Soderbergh, encore
un pour celui qui marche sur l’eau en cette fin des années 90.
Ma
Note : 18/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : HORS D’ATTEINTE de Steven SODERBERGH, son
deuxième chef d’œuvre.
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