dimanche 26 janvier 2014

ROSE BONBON (PRETTY IN PINK) d'Howard DEUTCH

ROSE BONBON
PRETTY IN PINK
He's good. She's good. He's just Duckie.
Les nouveaux teenagers américains


Fiche Technique

REALISE PAR : Howard Deutch
ECRIT PAR : John Hughes
MUSIQUE DE : Michael Gore
PRODUIT PAR : Lauren Shuler Donner
PRODUCTION : Paramount
DISTRIBUE PAR : Paramount aux USA – UIP en France
ORIGINE : USA
DUREE : 1h36min
PUBLIC : Pour tout public
SORTIE : 28 Février 1986 aux USA – 4 Juin 1986 en France
BUDGET : 9 Millions de Dollars
REVENUS : 40 Millions de Dollars (31 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE TOURNAGE : Californie
GENRE : RomCom Teen Movie
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Non

MOLLY RINGWALD : Andie Walsh
JON CRYER : Philip ”Duckie” F. Dale
ANDREW MCCARTHY : Blane McDonough
HARRY DEAN STANTON : Jack Walsh
ANNIE POTTS : Iona
KATE VERNON : Benny Hanson
KRISTY SWANSON : Duckette
ANDREW DICE CLAY : Bouncer at CATS
JAMES SPADER : Steff McKee
GINA GERSHON : Trombley

Synopsis

            Andie Walsh (MOLLY RINGWALD) est une adolescente folle amoureuse de Blane McDonough (ANDREW MCCARTHY), un étudiant de son lycée, qui traîne avec le groupe des riches, dont l’ex d’Andie, Steff (JAMES SPADER). Elle en fait part à son meilleur ami très étrange, Duckie (JON CRYER), qui en revanche est amoureux d’Andie.

Critique

            Je comprends totalement l’engouement que les trentenaires ont pour John Hughes. Dans les années 80, l’Américain a su parler à ses compatriotes avec d’excellents films comme The Breakfast Club ou Vacation.
            Cependant, vers 1986, le type stagne. En effet, après l’excellent The Breakfast Club et European Vacation, il réalise Weird Science qui est un film plus irritant que drôle et livre un scénario semblable à Seize Bougies Pour Sam à Howard Deutch, Pretty in Pink. On y retrouve donc Molly Ringwald comme d’habitude, mais pas d’Anthony Michael Hall, qui voulait faire autre chose. Bien lui en a pris, tant Pretty in Pink ressemble comme deux gouttes d’eau à ce que Hughes a fait auparavant, mais en moins bien. Le scénario du film est cousu de fil blanc et va totalement à l’encontre de ce que le natif de Lansing a tenté de nous démontrer au cours de sa carrière et se trouve être même détestable dans son dernier acte. Sans concept à la Breakfast Club, le film passe par tous les poncifs du genre, réalisé sans génie par un yes man qui n’a jamais brillé par son talent derrière la caméra et joué par des acteurs qui ne semblent pas concernés. Molly Ringwald et James Spader sont médiocres, Jon Cryer est particulièrement irritant, comme d’habitude, et Harry Dean Stanton apparaît trop peu à l’écran. Pour ce qui est d’Andrew McCarthy, pourtant dans un rôle charnière, il est tellement insignifiant qu’on l’oublie, ce qui est un comble pour un tel rôle.  
            Pretty in Pink n’est pas un si mauvais film que ça, certaines scènes sont très réussies et Andrew Dice Clay a plusieurs bonnes scènes en videur d’un bar branché. Mais quand on prend en compte les talents en place, c’est un vrai gâchis, aussi inutile que trop long.
Ma Note : 7/20


Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : SEIZE BOUGIES POUR SAM de John HUGHES, qui était un vrai bon film, un peu raciste sur les bords, mais divertissant de bout en bout.

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