BONS BAISERS DE PEKIN
GWOK CHAAN LING LING CHAT
Fiche Technique
REALISE PAR : Stephen Chow & Lik-Chi Lee
ECRIT PAR : Roman Cheung, Stephen Chow, Vincent Kok & Lik-Chi Lee
MUSIQUE DE : Wai Lap Yu
PRODUIT PAR : Charles & Jimmy Yeung
PRODUCTION : Win’s Movie
DISTRIBUE PAR : Golden Harvest à Hong-Kong
ORIGINE : Hong Kong
DUREE : 1h24min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 13 Octobre 1994 à Hong Kong
BUDGET : Pas d’Infos
REVENUS : 35 Millions de Dollars d’Hong Kong
LIEUX DE TOURNAGE : Hong Kong
GENRE : Comédie Parodique d’Espionnage
DISPONIBILITE : DVD Toutes Zones
SUITES : Non
STEPHEN CHOW : Ling Ling Chat
ANITA YUEN : Kam
PAULINE CHAN : Mystery Woman
KAR-YING LAW : Da Vinci
JOE CHENG : Metal Mouth
LIK-CHI LEE : Iron Legs
KAM-KONG WONG : Commander Lee
SAU-MING TSANG : Leader of Hunan Roberts
RONGGUANG YU : 002
MING WA GOO : Firing Squad Commander
Synopsis
Ling Ling Chat (STEPHEN CHOW) est appelé en renfort par les services secrets chinois quand un os de dinosaure est volé.
Critique
Je me suis pris d’amour pour Stephen Chow. En effet, les deux films réalisés par ses soins sortis en France sont deux excellentes comédies, drôles et pêchues, mais avant tout maîtrisées. Comme tout bon metteur en scène, il a réalisé des projets un peu plus personnels avant. Love on Delivery était vraiment sympathique.
Mais si tous ses films d’avant son chef d’œuvre, Shaolin Soccer, ont les mêmes qualités et les mêmes défauts, ça risque de me faire regretter de perdre du temps (et des neurones) sur ses films. Bons Baisers de Pékin est une comédie d’espionnage tout ce qu’il y a de plus correcte, avec des gags vraiment drôles, un rythme plaisant et une histoire qui tient à peu près la route. Le problème, c’est que c’est un film très chinois. Le montage y est erratique, le jeu d’acteurs y est scandaleusement nul (on préfèrera voir un Stephen Chow looser à la Love on Delivery) et que le film est cheap à souhait. Moche, mal foutu, à la musique très médiocre (Raymond Chow n’est pas encore là) et surtout beaucoup trop violent et sanglant, Bons Baisers de Pékin ne tient pas la route jusqu’au bout.
Essentiel pour la carrière de Stephen Chow, sûrement, vu sa réussite à Hong Kong, mais essentiel pour le cinéma, je ne pense pas, malheureusement.
Ma Note : 12.5/20
Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : AUSTIN POWERS, L’ESPION QUI M’A TIREE de Jay ROACH, la référence à aujourd’hui de la parodie d’espionnage.
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