mardi 26 février 2013

C'EST LA VIE (DOWNHILL) d'Alfred HITCHCOCK


C’EST LA VIE
DOWNHILL


Fiche Technique

REALISE PAR : Alfred Hitchcock
ECRIT PAR : Elliot Stannard
MUSIQUE DE : Néant
PRODUIT PAR : Michael Balcon & C.M. Woolf
PRODUCTION : Gainsborough
DISTRIBUE PAR : Wardour au Royaume-Uni
ORIGINE : Royaume-Uni
DUREE : 1h20min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 24 Octobre 1927 au Royaume-Uni
BUDGET : Pas d’Infos
REVENUS : Pas d’Infos
LIEUX DE TOURNAGE : Londres en Angleterre
GENRE : Drame
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Non

IVOR NOVELLO : Roddy Berwick
ROBIN IRVINE : Tim Wakely
ISABEL JEANS : Julia
IAN HUNTER : Archie
NORMAN MCKINNEL : Sir Thomas Berwick
LILIAN BRAITHWAITE : Lady Berwick
JERROLD ROBERTSHAW : Reverend Henry Wakely
ANNETTE BENSON : Mabel
BEN WEBSTER : Dr. Dawson
HANNAH JONES : The Dressmaker

Synopsis

            Roddy Berwick (IVOR NOVELLO) est un grand joueur de rugby d’une école privée anglaise très huppée. Il fréquente Mabel (ANNETTE BENSON), une serveuse, en même temps que son meilleur ami, Tim (ROBIN IRVINE). Quand Mabel devient enceinte de Tim, Roddy se désigne comme fautif et est renvoyé de l’école. S’ensuit une descente aux enfers qui l’emmène en France, à Marseille.

Critique

            En 1927, Alfred Hitchcock est un cinéaste moraliste qui parvient à sauver les films sur lesquels il travaille grâce à une maitrise technique exceptionnelle et même novatrice.
            Sans surprise, Downhill en est encore une nouvelle preuve, tirée d’une pièce d’Ivor Novello et encore adapté par le fidèle compère des jeunes années d’Alfred Hitchcock, Elliott Stannard. Le scénario est très prévisible, jamais vraiment intéressant et très moraliste, jusqu’à l’excès, avant un quatrième et ultime acte qui tombe comme un cheveu sur la soupe et qui est expédié en cinq minutes, ce qui est un réel problème quant aux implications émotionnelles de l’histoire. Il est alors désolant que le film soit aussi bien mis en scène, avec des plans proches de tableaux, car c’est un vrai gâchis du talent d’Alfred Hitchcock qui arrive à servir un film regardable et quelque peu divertissant, grâce au grand talent d’Ivor Novello.
            Il en reste qu’un film muet en noir & blanc d’une heure vingt sans musique, c’est assez abrupt, surtout s’il est aussi peu travaillé scénaristiquement. Pas détestable, mais loin d’être génial.
Ma Note : 11.5/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : THE PLEASURE GARDEN d’Alfred HITCHCOCK, autre film un peu vain d’Hitch.

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