C’EST LA
VIE
DOWNHILL
Fiche Technique
REALISE
PAR : Alfred Hitchcock
ECRIT
PAR : Elliot Stannard
MUSIQUE
DE : Néant
PRODUIT
PAR : Michael Balcon & C.M. Woolf
PRODUCTION :
Gainsborough
DISTRIBUE
PAR : Wardour au Royaume-Uni
ORIGINE :
Royaume-Uni
DUREE :
1h20min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
24 Octobre 1927 au Royaume-Uni
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Londres en Angleterre
GENRE :
Drame
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
IVOR
NOVELLO : Roddy Berwick
ROBIN
IRVINE : Tim Wakely
ISABEL
JEANS : Julia
IAN
HUNTER : Archie
NORMAN
MCKINNEL : Sir Thomas Berwick
LILIAN
BRAITHWAITE : Lady Berwick
JERROLD
ROBERTSHAW : Reverend Henry Wakely
ANNETTE
BENSON : Mabel
BEN
WEBSTER : Dr. Dawson
HANNAH
JONES : The Dressmaker
Synopsis
Roddy Berwick (IVOR NOVELLO) est un
grand joueur de rugby d’une école privée anglaise très huppée. Il fréquente
Mabel (ANNETTE BENSON), une serveuse, en même temps que son meilleur ami, Tim
(ROBIN IRVINE). Quand Mabel devient enceinte de Tim, Roddy se désigne comme
fautif et est renvoyé de l’école. S’ensuit une descente aux enfers qui l’emmène
en France, à Marseille.
Critique
En 1927, Alfred Hitchcock est un cinéaste moraliste qui parvient à sauver
les films sur lesquels il travaille grâce à une maitrise technique
exceptionnelle et même novatrice.
Sans surprise, Downhill en est encore une nouvelle preuve, tirée d’une pièce d’Ivor Novello et encore adapté par le
fidèle compère des jeunes années d’Alfred
Hitchcock, Elliott Stannard. Le
scénario est très prévisible, jamais vraiment intéressant et très moraliste,
jusqu’à l’excès, avant un quatrième et ultime acte qui tombe comme un cheveu
sur la soupe et qui est expédié en cinq minutes, ce qui est un réel problème
quant aux implications émotionnelles de l’histoire. Il est alors désolant que
le film soit aussi bien mis en scène, avec des plans proches de tableaux, car
c’est un vrai gâchis du talent d’Alfred
Hitchcock qui arrive à servir un film regardable et quelque peu
divertissant, grâce au grand talent d’Ivor
Novello.
Il en reste qu’un film muet en noir
& blanc d’une heure vingt sans musique, c’est assez abrupt, surtout s’il
est aussi peu travaillé scénaristiquement. Pas détestable, mais loin d’être
génial.
Ma
Note : 11.5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : THE PLEASURE GARDEN d’Alfred HITCHCOCK, autre
film un peu vain d’Hitch.
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