DRACULA
DRACULA
The story of the greatest lover
that ever lived, died and lived again.
Fiche Technique
REALISE
PAR : John Badham
ECRIT
PAR : W.D. Richter
MUSIQUE
DE : John Williams
PRODUIT
PAR : Walter Mirisch
PRODUCTION :
Universal - Mirisch
DISTRIBUE
PAR : Universal aux USA – CIC en France
ORIGINE :
USA / Royaume-Uni
DUREE :
1h49min
PUBLIC :
Interdit Aux Moins De 12 Ans
SORTIE :
20 Juin 1979 aux USA – 24 Août 1979 en France
BUDGET :
12 Millions de Dollars
REVENUS :
31 Millions de Dollars (19 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Cornouailles en Angleterre
GENRE :
Horreur
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
FRANK
LANGELLA : Count Dracula
DONALD
PLEASANCE : Dr. Jack Seward
LAURENCE
OLIVIER : Prof. Abraham van Helsing
KATE
NELLIGAN : Lucy Seward
TREVOR
EVE : Jonathan Harker
JAN
FRANCIS : Mina van Helsing
TONY
HAYGARTH : Mino Renfield
SYLVESTER
MCCOY : Walter
JANINE
DUVITSKY : Annie
TEDDY
TURNER : Swales
Synopsis
Sur les côtes de l’Angleterre, un
navire, le Demeter, fait naufrage. Le seul survivant vient de Transylvanie et
c’est bien évidemment le comte Dracula (FRANK LANGELLA). Ce dernier s’installe
alors dans le comté de Whitby et y rencontre le docteur Jack Seward (DONALD
PLEASANCE) et sa fille, Lucy (KATE NELLIGAN).
Critique
Le mythe de Dracula fut souvent adapté à travers les âges du cinéma. En 1979,
c’est John Badham qui succéda aux
films de la Hammer, avec Frank Langella dans le rôle principal.
Avec un réalisateur aussi prometteur
que John Badham, même si ce dernier
ne s’était jamais attaqué à ce genre de films, bien plus porté sur la comédie
dramatique, on pouvait s’attendre à un modèle du genre. Ce dernier peut
s’appuyer sur une production design absolument fabuleuse, entre des décors
incroyables et une photographie merveilleuse, oscillant entre le pur noir et
blanc à la Nostradamus et la
discrète insertion de couleurs, loin du rouge flamboyant des productions de la Hammer, tout aussi géniale, soit-il dit
en passant. En y utilisant des acteurs aussi excellents que Frank Langella ou Donald Pleasance (très proche d’un Sam Loomis, son rôle légendaire de la saga Halloween), ce Dracula
ne pouvait être qu’un bon film. Et pourtant, en adaptant à l’écran un scénario
aussi nul que celui-ci, écrit par W.D. Richter
(qui écrivit pourtant Brubaker,
porté à l’écran deux ans plus tard), le film se transforme en un long pensum,
sans aucun intérêt, dans lequel il ne se passe absolument rien, hormis sur cinq
ou six minutes, où tous les rebondissements interviennent. Le reste n’est que
pérore sans intérêt, déclamées par un Laurence
Olivier qui méritait sans doute mieux que cet ennui mortel.
Pour tous les techniciens qui ont
permis à ce film d’être d’une beauté impressionnante, on ne peut détester Dracula. Mais l’ennui est si présent
qu’on ne peut l’aimer non plus. Un film déroutant.
Ma
Note : 10/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : NOSFERATU de F. Wilhelm MURNAU, le père de tous,
qui mêlait technique irréprochable à un scénario réussi.
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