vendredi 22 mars 2013

UN ALLER POUR L'ENFER (BELLY OF THE BEAST) de SIU-TUNG Ching


UN ALLER POUR L’ENFER
BELLY OF THE BEAST
A Father’s Rage Knows No Limit


Fiche Technique

REALISE PAR : Siu-Tung Ching
ECRIT PAR : James Townsend & Thomas Fenton
MUSIQUE DE : Mark Sayer-Wade
PRODUIT PAR : Jamie Brown, Randall Emmett, George Furla, Gary Howsam, Steven Seagal & Charles Wang
PRODUCTION : Century Time – GFT Beast – Salon – Studio Eight Beast
DISTRIBUE PAR : Direct-To-DVD
ORIGINE : Canada / Royaume-Uni / Hong Kong
DUREE : 1h31min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : Direct-To-DVD
BUDGET : 14 Millions de Dollars
REVENUS : Pas d’Infos
LIEUX DE TOURNAGE : Thaïlande
GENRE : Thriller
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Non

STEVEN SEAGAL : Jake Hopper
BYRON MANN : Sunti
TOM WU : General Juntupan
SARA MALAKUL LANE : Jessica Hopper
PATRICK ROBINSON : Leon Washington
VINCENT RIOTTA : Fitch McQuaid
COLIN STINTON : Jim Cox
MARTIN MCDOUGALL : Tom Collins
KEVORK MALIKYAN : Fernand Zadir
ELIDH MACQUEEN : Sara Winthorpe

Synopsis

            Jake Hopper (STEVEN SEAGAL) et son frère de coeur Sunti (BYRON MANN) s’étaient pourtant promis de ne plus jamais se battre. Mais quand Jessica (SARA MALAKUL LANE) et son amie Lulu (MONICA LO) se font enlever en Thaïlande, Hopper voit rouge et appelle Sunti afin qu’ils aillent la chercher, en tuant les méchants, bien évidemment.

Critique

            Quelqu’un va devoir s’expliquer, un jour, sur les productions des films de Steven Seagal. Entre les coproductions étranges (exemple : Aruba) et les budgets énormes pour la qualité de ces productions, il y a quelque chose de louche.
            On ne soupçonnerait rien si les films étaient réussis, on serait trop occupé à en discuter. Malheureusement, Belly of the Beast rejoint la liste des Steven Seagal –post 2001 sans se distinguer : le film est très médiocre, malgré un duo de leads plutôt sympathique (Byron Mann fait des miracles avec son rôle pas vraiment réussi…) et une tentative osée, mais complètement loupée, de faire du fantastique en fin de film. Le scénario n’offre rien de neuf à Steven Seagal, qui semble trop heureux d’enchaîner manchette sur manchette tout en restant monolithique. Le reste de la production est assez anecdotique, entre acteurs médiocres (Patrick Robinson semble être sur le film par erreur), doublures très apparentes, musique de Prisunic et réalisation rythmée mais maniérée.
            On ne va pas se mentir, il ne fallait rien attendre de ce Belly of the Beast et on n’a rien obtenu. C’est dommage, car avec 14 millions de dollars, il y a moyen de se payer au moins des effets spéciaux dignes de ce nom.
Ma Note : 6/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : URBAN JUSTICE de Don E. FAUNTELROY, le meilleur DTV de Seagal. 

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