UN ALLER
POUR L’ENFER
BELLY OF
THE BEAST
A Father’s Rage Knows No Limit
Fiche Technique
REALISE
PAR : Siu-Tung Ching
ECRIT
PAR : James Townsend & Thomas Fenton
MUSIQUE
DE : Mark Sayer-Wade
PRODUIT
PAR : Jamie Brown, Randall Emmett, George Furla, Gary Howsam, Steven
Seagal & Charles Wang
PRODUCTION :
Century Time – GFT Beast – Salon – Studio Eight Beast
DISTRIBUE
PAR : Direct-To-DVD
ORIGINE :
Canada / Royaume-Uni / Hong Kong
DUREE :
1h31min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
Direct-To-DVD
BUDGET :
14 Millions de Dollars
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Thaïlande
GENRE :
Thriller
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
STEVEN
SEAGAL : Jake Hopper
BYRON
MANN : Sunti
TOM
WU : General Juntupan
SARA
MALAKUL LANE : Jessica Hopper
PATRICK
ROBINSON : Leon Washington
VINCENT
RIOTTA : Fitch McQuaid
COLIN
STINTON : Jim Cox
MARTIN
MCDOUGALL : Tom Collins
KEVORK
MALIKYAN : Fernand Zadir
ELIDH
MACQUEEN : Sara Winthorpe
Synopsis
Jake Hopper (STEVEN SEAGAL) et son
frère de coeur Sunti (BYRON MANN) s’étaient pourtant promis de ne plus jamais
se battre. Mais quand Jessica (SARA MALAKUL LANE) et son amie Lulu (MONICA LO)
se font enlever en Thaïlande, Hopper voit rouge et appelle Sunti afin qu’ils
aillent la chercher, en tuant les méchants, bien évidemment.
Critique
Quelqu’un va devoir s’expliquer, un
jour, sur les productions des films de Steven
Seagal. Entre les coproductions étranges (exemple : Aruba) et les
budgets énormes pour la qualité de ces productions, il y a quelque chose de
louche.
On ne soupçonnerait rien si les
films étaient réussis, on serait trop occupé à en discuter. Malheureusement, Belly of the Beast rejoint la liste des
Steven Seagal –post 2001 sans se
distinguer : le film est très médiocre, malgré un duo de leads plutôt
sympathique (Byron Mann fait des
miracles avec son rôle pas vraiment réussi…) et une tentative osée, mais
complètement loupée, de faire du fantastique en fin de film. Le scénario
n’offre rien de neuf à Steven Seagal,
qui semble trop heureux d’enchaîner manchette sur manchette tout en restant
monolithique. Le reste de la production est assez anecdotique, entre acteurs
médiocres (Patrick Robinson semble
être sur le film par erreur), doublures très apparentes, musique de Prisunic et
réalisation rythmée mais maniérée.
On ne va pas se mentir, il ne
fallait rien attendre de ce Belly of the
Beast et on n’a rien obtenu. C’est dommage, car avec 14 millions de
dollars, il y a moyen de se payer au moins des effets spéciaux dignes de ce
nom.
Ma
Note : 6/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : URBAN JUSTICE de Don E. FAUNTELROY, le meilleur
DTV de Seagal.
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