LES
MUPPETS, LE RETOUR
THE
MUPPETS
Muppets Domination
Le candidat de la coa-bitation
Fiche Technique
REALISE
PAR : James Bobin
ECRIT
PAR : Jason Segel & Nicholas Stoller
MUSIQUE
DE : Christophe Beck
PRODUIT
PAR : David Hoberman & Todd Liebermann
PRODUCTION :
Warner Bros.
DISTRIBUE
PAR : Warner Bros aux USA
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h43min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
23 Novembre 2011 aux USA
BUDGET :
45 Millions de Dollars
REVENUS :
158 Millions de Dollars (113 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Californie & Suisse
GENRE :
Comédie Musicale
DISPONIBILITE :
Blu-Ray Zone 2
SUITES : 7e épisode de la
saga
JASON SEGEL : Gary
AMY ADAMS : Mary
CHRIS COOPER : Tex Richman
RASHIDA JONES : Veronica
JACK BLACK : Jack Black
PETER LINZ : Walter / Droop
STEVE WHITMIRE : Kermit / Beaker /
Statler / Rizzo / Link / Muppet Newsman
ERIC JACOBSON : Miss Piggy / Fozzie Bear
/ Animal / Sam the Eagle / Marvin
DAVE GOELZ : Gonzo / Dr. Bunsen Honeydew
/ Zoot / Beauregard / Waldorf
DAVID RUDMAN : Scotter / Janice / Miss
Poogy
Synopsis
Gary (JASON SEGEL) et Walter (PETER LINZ) sont les meilleurs
amis du monde, passionnés des Muppets dont ils ne loupent aucun épisode. Alors,
quand Gary emmène sa fiancée Mary (AMY ADAMS) à Los Angeles comme voyage de fiançailles,
il invite aussi Walter, pour visiter le studio des Muppets. Walter y découvre
alors des semblables, lui aussi est un Muppet…
Critique
Refaire un Muppets en 2012, c’était osé. Que ce soit fait par le duo Jason Segel – Nicholas Stoller encore
plus, davantage connus pour leurs bromances adultes que pour leur côté familial
(testé dans Le Voyage de Gulliver).
Prenant le parti de rendre hommage
au premier film principalement, The
Muppets est un film purement familial, avec un scénario sans
double-entendre, mais jamais trop naïf ou premier degré, tant et si bien qu’on
peut croire, au vu des 20 premières minutes, qu’il y a un peu de moquerie chez Segel et Stoller. Mais, au fur et à mesure que le film avance, tous nos
doutes sont évaporer et force est de constater que l’hommage est très bien
rendu, avec des scènes très référentielles, comme celle du vendeur de voiture
et Sweetums oublié, ou évidemment
comme la reprise du Rainbow Connection,
qui n’est étrangement pas le final, chose très ambitieuse de la part des
scénaristes, qui préfèrent leur propre chanson pour finir le film, tout aussi
efficace. La musique, par ailleurs, du film, est assez exceptionnelle et il est
tout à fait mérité que la chanson Muppet
or Man eut été récompensée aux Oscars. Les acteurs sont parfaits, ni trop
relaxés, ni trop guindés, à l’image de Rashida
Jones et de Jack Black,
excellents seconds rôles. Les trois lead roles sont époustouflants, Jason Segel et Chris Cooper (qui nous sert un rap hilarant) surtout. Alors qu’elle
n’est pas la déception du spectateur presque conquis quand il voit une mise en
scène sans relief, plan-plan et sans ambition du réalisateur James Bobin.
C’est tout ce qu’il manque dans
cette vraie réinvention du mythe, cette étonnante réussite, aussi sincère
qu’émouvante, drôle que passionnante : une mise en scène ambitieuse. Pour
le prochain ?
Ma
Note : 17/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : THE MUPPET MOVIE de James FRAWLEY, leur modèle à
tous.
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