STAYING
ALIVE
STAYING
ALIVE
Dance to your own beat
5 ans après, la fièvre brûle toujours
Fiche Technique
REALISE
PAR : Sylvester Stallone
ECRIT
PAR : Sylvester Stallone & Norman Wexler
MUSIQUE
DE : The Bee Gees
PRODUIT
PAR : Sylvester Stallone & Robert Stigwood
PRODUCTION :
Paramount – Cinema Group Venture
DISTRIBUE
PAR : Paramount aux USA – UIP en France
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h33min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
15 Juillet 1983 aux USA – 12 Octobre 1983 en France
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
64 Millions de Dollars
LIEUX DE
TOURNAGE : New York City,NY & Los Angeles,CA aux USA
GENRE :
Comédie Musicale
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Suite de SATURDAY NIGHT FEVER
JOHN TRAVOLTA : Tony Manero
FINOLA HUGHES : Laura
CYNTHIA RHODES : Jackie
NORMA DONALDSON : Fatima
FRANK STALLONE : Carl
STEVE INWOOD : Jesse
JULIE BOVASSO : Tony’s Mom
JOYCE HYSER : Linda
CHARLES WARD : Butmer
JESSE DORAN : Mark
Synopsis
5 ans après ses aventures à Brooklyn, Tony Manero (JOHN
TRAVOLTA) est devenu un danseur professionnel. Alors qu’il tente d’entrer dans
la troupe de la nouvelle pièce Satan’s Alley,
il tombe sous le charme de Laura (FINOLA HUGHES), la danseuse star,
alors qu’il vit avec Jackie (CYNTHIA RHODES), qui cherche aussi un rôle dans la
pièce.
Critique
La
Fièvre du Samedi Soir est un chef d’œuvre incompris, un grand film sur la
jeunesse 70’s à Brooklyn, dans un autre genre que les films de Scorsese par exemple, moins centré sur
les gangsters et plutôt sous le prisme de la danse.
Staying
Alive est une suite non logique de ce film, ne faisant revenir que Tony Manero et sa mère, pour broder une
toute autre histoire avec de tous autres enjeux, sans forcément trahir le
matériau original. Après un dialogue par lequel l’excellent Travolta explique pourquoi on passe un
film R-Rated à un film PG-13, le film a les coudées franches pour réinventer
son personnage et devenir une simple success story, avec ses amourettes
prévisibles mais sympathiques et ses personnages hauts en couleurs. En effet, Laura est bien plus qu’une simple Stephanie 2.0. et Jackie est bien plus intéressante qu’Annette. La principale qualité de Staying Alive, cependant, est aussi son principal défaut : Sylvester Stallone. Réalisateur,
scénariste, producteur et même acteur dans un tout petit caméo fugace, son
essence transpire à travers tout le film : en effet, Tony Manero¸ c’est Rocky
Balboa, c’est Sylvester Stallone…
Rien que sur les scènes de danse, là où les danseurs semblait des dieux vivants
dans le premier opus, ici ils transpirent abondamment, tels des sportifs.
L’acteur s’est approprié le rôle, avec son écriture touchante, mais
malheureusement pas très fine et un peu niaise. Ce qu’on perd en critique
sociale, on le gagne en émotion réelle et sincère. Là où les gens ont pu s’estimer flouer à
l’époque, c’est sur le rapport avec le précédent, presque inexistant. Mais si
on prend Staying Alive comme un
stand-alone, le film se tient.
Comme en plus, le film est encore
mis en musique par les Bee Gees et
que les chansons de Frank Stallone
sont plutôt réussies, Staying Alive
peut être considéré comme un sympathique divertissement.
Ma
Note : 14.5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : FAME de Kevin TANCHAROEN, qui se rapproche
réellement de ce genre de film.
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