mardi 29 novembre 2011

HARVARD STORY (HARVARD MAN) de James TOBACK


HARVARD STORY
HARVARD MAN
Passion, Seduction, Deception
Passion, Seduction, Manipulation



Fiche Technique

REALISE PAR : James Toback
ECRIT PAR : James Toback
MUSIQUE DE : Ryan Shore
PRODUIT PAR : Daniel Bigel & Michael Mailer
PRODUCTION : Bigel/Mailer - The Kushner-Locke - LionsGate - Worldwide
DISTRIBUE PAR : Cowboy aux USA - Metropolitan en France
ORIGINE : USA
DUREE : 1h40min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 12 Avril 2002 aux USA - 1 Août 2001 en France
BUDGET : 5 Millions de Dollars
REVENUS : Pas d'Infos
LIEUX DE TOURNAGE : Boston & Cambridge,MA aux USA et Toronto & Mississauga,ON au Canada
GENRE : Thriller Romantique Philosophique
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Non

ADRIAN GRENIER : Alan Jensen
SARAH MICHELLE GELLAR : Cindy Bandolini
JOEY LAUREN ADAMS : Chesney Cort
ERIC STOLTZ : Teddy Carter
REBECCA GAYHEART : Kelly Morgan
GIANNI RUSSO : Andrew Bandolini
JOHN NEVILLE : Dr.Reese
RAY ALLEN : Marcus Blake
JOE PINGUE : Joe
AL FRANKEN : Lui-Même
Synopsis

Alan Jensen (ADRIAN GRENIER) passe un deal avec Andrew Bandolini (GIANNI RUSSO), le père de sa copine Cindy (SARAH MICHELLE GELLAR), parrain de la mafia, pour truquer un match de basket-ball.
Critique

Mon Dieu que c'est mauvais! Rien que le synopsis, j'ai essayé de le résumer au plus possible mais on est très loin du synopsis entier du film. Je ne parle pas des deux agents du FBI, accros au sexe (comme tous les personnages d'ailleurs), ou même du LSD, que le personnage d'Adrian Grenier finit par consommer et qui nous offre 30 minutes totalement hors sujet de divagations et de déformations de visage (à tel point qu'Eric Stoltz ressemble à Michael J. Fox).
Passable au début, où les scènes de basket-ball (filmées par un myopathe, je ne comprends pas comment Ray Allen, pourtant excellent dans le film ait pu accepter de tourner des scènes aussi laides) s'enchaînent avec des dialogues hautement philosophiques (insupportables et prétentieux) qui sont dit lors d'une partie de ping-pong vocal, fatiguant du fait que les acteurs parlent vite et ne s'arrêtent jamais, entre Adrian Grenier (la cata, il arrive à être moins crédible que Zac Efron en basketteur) et Joey Lauren Adams (finalement, bonne actrice). Mais quand le film donne de l'importance à Sarah Michelle Gellar... C'est pire que mauvais, c'est exécrable, insupportable, prétentieux (à mort) et surtout futile à souhait. Déjà nul, le film n'est pas aidé par Rebecca Gayheart, par la musique signé Bach (souvent mélangé avec du rock ou du rap de très mauvaise qualité) avec chansons de Stomy Bugsy (sic), et donc la demi-heure de la honte.
Au moins, le film se relève un peu à la fin avec John Neville mais bon, ça reste assez mauvais. N'oublions pas les faux raccords volontaires, pour finir de consacrer James Toback comme un des réalisateurs les plus prétentieux de sa génération (parce qu'en plus, quand il se décide de filmer correctement, ça va pas mal...). La fin moraliste à souhait finit de nous achever.
Ma Note : 3/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : LOADED d'Alan PAO qui est aussi une descente aux enfers dans le monde de la drogue ultra-mauvais et vraiment mal joué.

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