jeudi 24 novembre 2011

PARDONNEZ-MOI de MAÏWENN


PARDONNEZ-ME
FORGIVE ME


Fiche Technique

REALISE PAR : Maïwenn le Besco
ECRIT PAR : Maïwenn le Besco
MUSIQUE DE : Mirwais Ahmadzaï
PRODUIT PAR : François Kraus, Maïwenn le Besco & Denis Pineau-Valencienne
PRODUCTION : Maï – Les Films du Kiosque – Gamza - Clo
DISTRIBUE PAR : SND en France
ORIGINE : France
DUREE : 1h28min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 22 Novembre 2006
BUDGET : 1 Million de Dollars
REVENUS : Pas d’Infos
LIEUX DE TOURNAGE : Paris en France
GENRE : Drame Familial
DISPONIBLITE : DVD Zone 2
SUITES : Non

MAÏWENN LE BESCO : Violette
PASCAL GREGGORY : Dominique
AURELIEN RECOIN : Paul
MARIE-FRANCE PISIER : Lola
HELENE DE FOUGEROLLES : Billie
MELANIE THIERRY : Nadia
YANNICK SOULIER : Alex
MARIE-SOPHIE L. : La psychologue
FRANCK BUSSI : Le vendeur de caméra
ABDELKADER BELKHODJA : Le grand-père

Synopsis

            Violette (MAÏWENN LE BESCO) décide de réaliser un film pour régler ses comptes avec sa famille, pendant sa grossesse.

Critique

            C’est un secret de polichinelle pour tous les gens un peu intéressés par l’histoire de la réalisatrice-actrice-scénariste-productrice, Maïwenn a eu une enfance très compliquée, ayant été battue par ses deux parents. Ce film est donc autobiographique.
            A la limite du documentaire par moments, la caméra de Maïwenn se balade à travers sa famille, totalement décomposée, de manière énergique, passionnante, sur une période de temps indéterminée et pourtant complètement maîtrisée. Ce qui commence par une comédie grinçante se transforme en drame poignant sur la famille et la maltraitance d’enfants. Les acteurs sont fantastiques, Yannick Soulier & Pascal Greggory (en salopard tellement émouvant) en tête, dans des rôles a priori diamétralement opposés mais qui se regroupent un peu. On regrettera deux erreurs assez énormes, comme le nom du spectacle de Violette, qui s’appelle Maïwenn et le fait qu’on soit en 1998 (comme on peut le voir sur L’Equipe que Yannick Soulier lit) mais qu’on puisse apercevoir des affiches de Kiss Kiss Bang Bang dans le métro. De plus, le discours de Maïwenn sur l’innocence totale des enfants est un peu difficile à accepter, malgré ses circonstances atténuantes…
            Maïwenn, pour son premier long métrage, nous sert donc un bijou de tragédie contenue, dont seul Dark Vador ne pleurerait pas devant (ce n’est pas de moi.).
Ma Note : 18/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : POLISSE de Maïwenn, qui sait y faire, dans le drame.

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