MEET THE DEEDLES
MEET THE DEEDLES
To Protect and Surf
Fiche Technique
REALISE PAR : Steve Boyum
ECRIT PAR : Jim Herzfeld
MUSIQUE DE : Steve Bartek
PRODUIT PAR : Aaron Meyerson & Dale Pollock
PRODUCTION : DiC – Peak – Walt Disney
PRODUCTION : DiC – Peak – Walt Disney
DISTRIBUE PAR : Walt Disney aux USA
ORIGINE : USA
DUREE : 1h33min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 27 Mars 1998 aux USA
BUDGET : 24 Millions de Dollars
REVENUS : Pas d’Infos
LIEUX DE TOURNAGE : Hawaii & Utah aux USA
DISPONIBILITE : DVD Zone 1
SUITES : Non
STEVE VAN WORMER : Stew Deedle
PAUL WALKER : Phil Deedle
A.J. LANGER : Lieutenant Jesse Ryan
JOHN ASHTON : Captain Douglas Pine
DENNIS HOPPER : Frank Slater
RICHARD LINEBACK : Crabbe
ROBERT ENGLUND : Nemo
ANA GASTEYER : Mel
MEGAN CAVANAGH : Mo
ERIC BRAEDEN : Elton Deedle
Synopsis
Stew (STEVE VAN WORMER) et Phil (PAUL WALKER), deux frères hawaiiens sont envoyés par leur père (ERIC BRAEDEN), fatigué de leurs bêtises, dans un camp à Yellowstone. Mais les Deedles s’échappent…
Critique
Chacun a ses acteurs favoris, bons ou pas. Mais peu de gens vont jusqu’au bout avec ces acteurs, jusqu’à voir leurs films de jeunesse, comme Clooney avec ses films d’horreur pourris.
Moi, c’est Paul Walker. Alors quand je suis tombé sur cette magnifique affiche, mon sang n’a fait qu’un tour : Meet the Deedles est un film à voir. A titre débile, film abruti, en plus c’est un Disney, tout un programme. D’une bêtise abyssale et parfois infantile, Meet the Deedles est un feel-good movie, un ovni dans la production Disney, une réussite improbable, à mi-chemin entre le film d’aventures pour enfants et le film malpoli pour vieux ados. Débile jusqu’aux situations ubuesques, Jim Herzfeld (scénariste des deux premiers Meet the Parents) se permet des gags un peu vulgaires (au second degré) et des clins d’œil inattendus chez Disney. Du côté des acteurs, Paul Walker, Steve Van Wormer & l’excellent John Ashton forment un très bon trio, égal à celui des méchants, composé d’excusez du peu, Dennis Hopper, Ricky Lineback & Robert « Freddy » Englund. Tout ce beau monde cabotine à mort de manière réjouissante et presque jouissive d’inventivité idiote.
Evidemment, le film n’est pas exempt de tout défaut, il est trop long de 15 minutes, certains gags tombent à l’eau, l’intrigue est cousue de fil blanc, A.J. Langer est nulle, les écrans verts se multiplient, mais on s’amuse beaucoup devant cette petite comédie sans aucune prétention. Frostastic !
Ma Note : 14.5/20
Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : BRONX A BEL-AIR de Adam SHANKMAN, pour rire bêtement.
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