MATRIX
THE MATRIX
THE MATRIX
Remember There Is No Spoon
Croire A L'Incroyable
Croire A L'Incroyable
Fiche Technique
REALISE PAR : The Washovskis Brothers
ECRIT PAR : The Washovskis Brothers
MUSIQUE DE : Don Davis
PRODUIT PAR : Joel Silver
PRODUCTION : Warner Bros - Village Roadshow - Groucho II - Silver
DISTRIBUE PAR : Warner Bros. aux USA et en France
ORIGINE : USA / Australie
DUREE : 2h16min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 31 Mars 1999 aux USA - 23 Juin 1999 en France
BUDGET : 63 Millions de Dollars
REVENUS : 463 Millions de Dollars ( 400 Millions de Bénéfices )
LIEUX DE TOURNAGE : New South Wales en Australie, Californie & Tennessee en France
GENRE : Science-Fiction
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Deux films, plus des courts-métrages inspirés.
KEANU REEVES : Neo
LAURENCE FISHBURNE : Morpheus
CARRIE-ANNE MOSS : Trinity
HUGO WEAVING : Agent Smith
JOE PANTOLIANO : Cypher
MARCUS CHONG : Tank
ANTHONY RAY PARKER : Dozer
GLORIA FOSTER : Oracle
JULIAN ARAHANGA : Apoc
BELINDA MCCLORY : Switch
Synopsis
Neo (KEANU REEVES), hacker talentueux, est contacté par Morpheus (LAURENCE FISHBURNE) qui lui dévoile ce qu'est le monde en réalité...
Critique
The Matrix, film vénéré par certains, très apprécié par d'autres, a fait couler beaucoup d'encre à sa sortie. J'avais du le voir 4 ou 5 fois plus jeune, mais je voulais le revoir avec un œil neuf. Je pense que ce fut la fois de trop.
Evacuons tout de suite la partie technique, il est bien évident qu'elle est presque parfaite et que les Washovskis n'ont presque pas leur pareil pour filmer des scènes d'action et pour instaurer une sorte d'atmosphère assez étrange, avec leur image, très verte. Du côté des acteurs, c'est très bon aussi, Keanu Reeves, Joe Pantoliano et Hugo Weaving en particulier, un peu plus réservé pour Laurence Fishburne et Carrie-Anne Moss. Là où le bas blesse, c'est vraiment sur le scénario. L'idée est loin d'être idiote, voire même très intelligente. Mais le traitement est d'une nullité crasse. En effet, tous les éléments du scénario nous sont assénés dans une avalanche de scènes assommantes mettant toujours en scène le personnage de Morpheus, tête à claques super lourde qui ne sert qu'à expliquer les éléments du scénario pour un spectateur qui se lasse très vite, avant de se faire capturer comme tous les prophètes au cinéma.
La suite du film consiste à la quête pour le retrouver. Un peu moins originale que ce qu'on veut nous faire croire. Comme si l'aisance technique des Washovskis leur permettait d'être prétentieux et assommants dans leur propos.
Ma Note : 9/20
Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : BLACK SWAN de Darren ARONOFSKY, même aisance technique, même prétention dans le propos, même déception.
Evacuons tout de suite la partie technique, il est bien évident qu'elle est presque parfaite et que les Washovskis n'ont presque pas leur pareil pour filmer des scènes d'action et pour instaurer une sorte d'atmosphère assez étrange, avec leur image, très verte. Du côté des acteurs, c'est très bon aussi, Keanu Reeves, Joe Pantoliano et Hugo Weaving en particulier, un peu plus réservé pour Laurence Fishburne et Carrie-Anne Moss. Là où le bas blesse, c'est vraiment sur le scénario. L'idée est loin d'être idiote, voire même très intelligente. Mais le traitement est d'une nullité crasse. En effet, tous les éléments du scénario nous sont assénés dans une avalanche de scènes assommantes mettant toujours en scène le personnage de Morpheus, tête à claques super lourde qui ne sert qu'à expliquer les éléments du scénario pour un spectateur qui se lasse très vite, avant de se faire capturer comme tous les prophètes au cinéma.
La suite du film consiste à la quête pour le retrouver. Un peu moins originale que ce qu'on veut nous faire croire. Comme si l'aisance technique des Washovskis leur permettait d'être prétentieux et assommants dans leur propos.
Ma Note : 9/20
Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : BLACK SWAN de Darren ARONOFSKY, même aisance technique, même prétention dans le propos, même déception.
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