SCARFACE
SCARFACE
He Loved the American Dream. With a Vengeance
Il Voulait Vivre le Rêve Américain. Jusqu’au Bout.
SCARFACE
He Loved the American Dream. With a Vengeance
Il Voulait Vivre le Rêve Américain. Jusqu’au Bout.
Fiche Technique
REALISE PAR :Brian De Palma
ECRIT PAR : Oliver Stone
MUSIQUE DE : Giorgio Moroder
PRODUIT PAR : Martin Bregman
PRODUCTION : Universal
DISTRIBUE PAR : Universal aux USA et en France
ORIGINE : USA
DUREE : 2h50min
PUBLIC : Interdit aux Moins de 16 Ans
SORTIE : 9 Décembre 1983 aux USA – 7 Mars 1983 en France
BUDGET : 25 Millions de Dollars
REVENUS : 65 Millions de Dollars (40 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE TOURNAGE : New York,NY, Miami,FL, Los Angeles,CA aux USA
GENRE : Gangster Movie
DISPONIBILITE : Blu-Ray Zone 2
SUITES : Non
AL PACINO : Tony Montana
STEVEN BAUER : Manny Ribeira
MICHELLE PFEIFFER : Elvira Hancock
ROBERT LOGGIA : Frank Lopez
F. MURRAY ABRAHAM : Omar Suarez
MARY ELIZABETH MASTRANTONIO : Gina Montana
MIRIAM COLON : Mama Montana
FRANK SHENAR : Alejandro Sosa
HARRIS YULIN : Mel Bernstein
ANGEL SALAZAR : Chi Chi
Synopsis
Tony Montana (AL PACINO), jeune émigré cubain ambitieux, gravit les échelons, d’homme de main à parrain de la drogue à Miami. Mais Scarface, comme on l’appelle, est ambitieux. Trop ?
Critique
Véritable mythe aimé et détesté à travers le monde, Scarface ne laisse personne vraiment indifférent. Alors, film manipulateur et bien trop théâtral ou chef d’œuvre vénérable ?
Scarface est un chef d’œuvre vénérable, un film formidable et sublime sur la montée au pouvoir et la descente aux enfers d’un salaud manipulateur, parfois idiot, parfois stratège et de la déliquescence de ses relations avec ses proches. Evidemment, Al Pacino en fait des caisses, mais il est dans la logique de son personnage bigger-than-life. Ce salaud irrécupérable est entouré d’excellents acteurs, dont on ressortira les géniaux Steven Bauer et F. Murray Abraham alors qu’Harris Yulin fait deux apparitions remarquées.
Construit en trois actes, il souffre de l’apanage de ce genre de film. En effet, si les deux premiers actes (l’arrivée aux USA et la montée au pouvoir) sont passionnants, le troisième acte, quand il est au sommet, est un peu moins convainquant, plus tragique et prévisible. On ne sent néanmoins pas les trois heures passer tant cette histoire est édifiante, magnifiquement bien racontée par un Oliver Stone en grande forme.
Magnifié par une bande-son encore au top aujourd’hui (entre le She’s on Fire et le Push it to the Limit, on a de quoi faire), réalisé par un Brian de Palma au firmament de sa forme, Scarface est un film souvent incompris (non, les gars, Tony Montana n’est pas un héros martyr, n’en déplaise à nos rappeurs) mais réellement fabuleux. Chef d’œuvre.
Ma Note : 19/20
Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : LE PARRAIN, 3e PARTIE de Francis Ford COPPOLA, autre film de gangsters où Pacino nous sort le grand jeu.
Scarface est un chef d’œuvre vénérable, un film formidable et sublime sur la montée au pouvoir et la descente aux enfers d’un salaud manipulateur, parfois idiot, parfois stratège et de la déliquescence de ses relations avec ses proches. Evidemment, Al Pacino en fait des caisses, mais il est dans la logique de son personnage bigger-than-life. Ce salaud irrécupérable est entouré d’excellents acteurs, dont on ressortira les géniaux Steven Bauer et F. Murray Abraham alors qu’Harris Yulin fait deux apparitions remarquées.
Construit en trois actes, il souffre de l’apanage de ce genre de film. En effet, si les deux premiers actes (l’arrivée aux USA et la montée au pouvoir) sont passionnants, le troisième acte, quand il est au sommet, est un peu moins convainquant, plus tragique et prévisible. On ne sent néanmoins pas les trois heures passer tant cette histoire est édifiante, magnifiquement bien racontée par un Oliver Stone en grande forme.
Magnifié par une bande-son encore au top aujourd’hui (entre le She’s on Fire et le Push it to the Limit, on a de quoi faire), réalisé par un Brian de Palma au firmament de sa forme, Scarface est un film souvent incompris (non, les gars, Tony Montana n’est pas un héros martyr, n’en déplaise à nos rappeurs) mais réellement fabuleux. Chef d’œuvre.
Ma Note : 19/20
Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : LE PARRAIN, 3e PARTIE de Francis Ford COPPOLA, autre film de gangsters où Pacino nous sort le grand jeu.
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