BREAKFAST
CLUB
THE
BREAKFAST CLUB
They only met once, but it changed their lives forever
Une seule rencontre suffit pour changer leur vie
Fiche Technique
REALISE
PAR : John Hughes
ECRIT
PAR : John Hughes
MUSIQUE
DE : Keith Forsey
PRODUIT
PAR : John Hughes & Ned Tanen
PRODUCTION :
A&M – Channel – Universal
DISTRIBUE
PAR : Universal aux USA et en France
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h37min
PUBLIC :
Pour Tout Public
SORTIE :
15 Février 1985 aux USA – 11 Septembre 1985 en France
BUDGET :
1 Million de Dollars
REVENUS :
51 Millions de Dollars (50 Millions de Bénéfices)
LIEUX DE
TOURNAGE : Illinois aux USA
GENRE :
Comédie Dramatique
DISPONIBILITE :
BluRay Zone B
SUITES :
Non
ANTHONY
MICHAEL HALL : Brian Johnson
JUDD
NELSON : John Bender
ALLY SHEEDY :
Allison Reynolds
EMILIO
ESTEVEZ : Andrew Clark
MOLLY
RINGWALD : Claire Standish
PAUL
GLEASON : Richard Vernon
JOHN
KAPELOS : Carl Reed
TIM
GAMBLE : Claire’s Father
MERCEDES
HALL : Brian’s Mother
JOHN
HUGHES : Brian’s Father
Synopsis
Un samedi matin, dans un lycée de la
banlieue de Chicago, 6 élèves (ANTHONY MICHAEL HALL, JUDD NELSON, ALLY SHEEDY,
EMILIO ESTEVEZ, MOLLY RINGWALD) diamétralement opposés se retrouvent pour huit
heures de colle, surveillés plutôt lâchement par le principal adjoint Dick
Vernon (PAUL GLEASON).
Critique
En 1985, John Hughes était connu pour ses comédies décapantes (Bonjour les Vacances) ou les films
légers (Nate & Hayes) mais il
n’avait jamais vraiment utilisé des ressorts dramatiques dans ses films.
The
Breakfast Club, que l’on retrouve très souvent dans des Top 10 de gens de
tous âges, est sa première incursion dans la comédie dramatique. Coup de
maître ? Peut-être plus autant maintenant en 2013 qu’en 1985. En effet, en
prenant 6 clichés d’adolescents cinématographiques et en les faisant se
rencontrer pendant l’espace d’une journée, John
Hughes envoyait un signal fort à tous les autres réalisateurs-scénaristes
de teen movies. Les stéréotypes sont là pour être dynamités. Le message peut
paraître un peu naïf (aller vers les autres, les gens différents, c’est le but
du jeu au lycée, quitte à exploser les conventions sociales) mais le scénario
est si habile, si divertissant et jonché de lignes de dialogues mémorables
qu’on lui pardonne ce petit défaut très vite. De plus, John Hughes a compris que ses idées sont utopiques et il évite
d’être trop optimiste et dramatise un peu la dernière partie de son film.
John
Hughes ne s’empêche quand même pas de réaliser quelques séquences comiques
particulièrement réussies sans jamais baisser le rythme, comme celle de la
poursuite entre l’immense Paul Gleason
et les six héros, tous parfaitement interprétés, mais dominés par Anthony Michael Hall, encore une fois
totalement parfaits. Et comme d’habitude dans ses films, la bande-son est très
travaillée et représentative de l’époque dans laquelle le film est placé. On se
rappelle évidemment de cette chanson mythique des Simple Minds, mythique et aujourd’hui associée à ce film à jamais.
The
Breakfast Club a été dépassé aujourd’hui et ce portrait de la jeunesse
américaine des 80’s n’est peut-être plus représentatif de l’époque
contemporaine. Mais il restera dans l’histoire du cinéma comme un milestone,
grâce à son exécution parfaite. Un indispensable.
Ma
Note : 17.5/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : AMERICAN PIE de Paul & Chris WEITZ, le
portrait de la jeunesse des 90’s qui lui aussi finira par être dépassé.
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