REBEL
NO PLACE
TO HIDE
His way to peace is war against society
Pris au piège, dans une traque incroyable
Fiche Technique
REALISE
PAR : Robert Allen Schnitzer
ECRIT
PAR : Larry Beinhart, Louis Pastore & Robert Allen Schnitzer
MUSIQUE
DE : Joseph Delacorte
PRODUIT
PAR : David Appleton & Robert Allen Schnitzer
PRODUCTION :
Galaxy
DISTRIBUE
PAR : American Films aux USA
ORIGINE :
USA
DUREE :
1h20min
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
22 Décembre 1970 aux USA
BUDGET :
Pas d’Infos
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : New York City,NY aux USA
GENRE :
Thriller
DISPONIBILITE :
VHS rare
SUITES :
Non
SYLVESTER STALLONE : Jerry Savage
TONY PAGE : Tommy Trafler
REBECCA GRIMES : Laurie Fisher
VICKIE LANCASTER : Estelle Ferguson
DENNIS TATE : Ray Brown
BARBARA LEE GOVAN : Marlena St.
James
ROY WHITE : William Decker
JED MILLS : Chuck Bradley
DAVID ORANGE : Richard Scott
HENRY G. SANDERS : James Henderson
Synopsis
Jerry Savage (SYLVESTER STALLONE) est un jeune étudiant du fin
fond des Etats-Unis. Arrivé à New York, il rencontre un groupe d’étudiants
altermondialistes terroristes qui décident de s’attaquer aux entreprises qui
font affaire avec des dictateurs d’Amérique Centrale que l’Amérique a promu. Le
FBI se met à leurs trousses…
Critique
Après son légendaire film érotique, Party at Kitty and Stud’s, Sylvester Stallone s’était enfin fait un
(petit) nom dans le cinéma tout public et put enfin faire un film tout public.
Ce fut No Place to Hide, réalisé par l’inconnu au bataillon Robert Allen Schnitzer (qui mérite de le
rester tant sa réalisation est clinquante et anémique, alors qu’il n’a
évidemment pas le budget pour) et scénarisé à six mains, ce qui est tout
proprement scandaleux quant à la qualité finale du film. En effet, en plus d’avoir
des acteurs médiocres (aucun n’a eu de véritable carrière derrière, si l’on
omet bien évidemment Sylvester Stallone,
particulièrement mauvais ici), le film est très mal écrit, avec une intrigue
qui frôle la propagande altermondialiste, sans suspense ni même réel intérêt,
avant de finir dans le plus grand cliché existant de la prise de conscience de
notre héros, qui décide alors de fuir cette cause qui lui tenait pourtant tant
à cœur. Les agents du FBI sont évidemment tous des salauds corrompus à la solde
des politiciens et les altermondialistes des gars sympas un peu plus
intelligents que les autres. De qui se moque-t-on ?
Seule la musique, d’un cheap insolent
mais qui ressemble à celle de l’Italian
Stallion justement, est à sauver dans cette catastrophe passée heureusement
inaperçue. Il y a une justice dans le cinéma, messieurs dames.
Ma Note :
3/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : THE ITALIAN STALLION de Morton LEWIS, bien plus
fun.
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