CLEMENTINE
CLEMENTINE
De l’issue du combat dépendra son avenir
S’il gagne, sa fille meurt. S’il perd…
Fiche Technique
REALISE
PAR : Kim Du-Yeong
ECRIT
PAR : Eun Hye-Rim
MUSIQUE
DE : Lee Sang-Ho
PRODUIT
PAR : Mark Hicks
PRODUCTION :
Pulstar
DISTRIBUE
PAR : Tai Seng Entertainment en Corée du Sud
ORIGINE :
Corée du Sud / USA
DUREE :
1h40
PUBLIC :
Pour tout public
SORTIE :
5 Mai 2004 en Corée du Sud
BUDGET :
2 Millions de Dollars
REVENUS :
Pas d’Infos
LIEUX DE
TOURNAGE : Corée du Sud
GENRE :
Thriller
DISPONIBILITE :
DVD Zone 2
SUITES :
Non
LEE DONG-JUN : Kim
EUN SEO-WOO : Sang-Ra
KIM HYE-RI : Unknown
GI JU-BONG : Unknown
LIM HYEOK-PIL : Unknown
NICK HERMZ : Unknown
SIMON RHEE : Korean Man in Crowd
KEVIN GREVIOUX : The Evil Gambling
Kingpin
JOE ALPIN : Bodyguard #1
STEVEN SEAGAL : Jack Miller
Synopsis
Kim (LEE DONG-JUN) est un ancien champion de Taek Won Do, qui
décide de s’arrêter afin de passer du temps avec sa fille, Sang Ra (EUN
SEO-WOO). Cependant, lorsqu’un parrain américain (KEVIN GREVIOUX) veut le voir
combattre Jack Miller (STEVEN SEAGAL) dans un match dans une cage, Kim refuse.
Le parrain kidnappe alors sa fille pour le faire chanter.
Critique
En France, la qualité des films
coréens qui sortent en salles est telle qu’on aurait vite fait de penser que
leur cinéma n’est que réussites et chefs d’œuvres. Il faut donc fouiller un peu
pour tomber sur la perle rare.
Clementine
est un film sud-coréen qui aurait dû tomber dans l’oubli le plus profond et le
plus mérité s’il n’y avait eu ce caméo de Steven
Seagal, qui se retrouva, à son grand dam, en haut de l’affiche, alors qu’il
n’a que 10 minutes de temps d’écran. Propulsé donc en tête d’affiche des DTV du
premier semestre 2004, il n’y a plus qu’à voir l’ampleur du désastre pour voir
que Seagal vend encore et permet donc
à de bons gros navets des familles à sortir dans le monde entier en DVD. Fauché
et tourné à l’aide d’une des caméras les plus cheap du marché, Clementine est donc une histoire de
kidnapping aussi lamentable dans l’écriture (qui laisse plein de portes
ouvertes au profit d’un combat final plutôt pêchu) que dans le jeu d’acteur. Lee Dong-Jun n’est pas à blâmer, correct
comme il est. C’est plutôt sa fille du film, Eun Seo-Woo, qui décide d’anéantir toute la puissance émotionnelle,
déjà bien faible, des scènes où elle apparaît, toutes lacrymales et
insupportables, bien aidée par une musique pompière que même Hans Zimmer n’oserait pas approuver. En
plus d’être mauvais, le scénario est d’une bêtise incommensurable, en
témoignent les explications de Steven
Seagal en toute fin de film sur le kidnapping.
Clementine
se finit sur un texte pour le moins étrange où Eun Seo-Woo remercie le VRAI Steven
Seagal pour sa participation au film. Ils peuvent le remercier, car, sans
lui, ce navet n’aurait sans doute pas vu le jour. Une cata.
Ma
Note : 3/20
Si Vous
Avez Aimé, Vous Aimerez : EN SURSIS d’Andrezj BARTKOWIAK, qui a au moins
le mérite d’être drôle.
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